Les Demeurées de Jeanne Benameur. Création 2013 du Tanit Théatre.
Scénographie et mise en scène : Eric Louviot.
Avec Isis Louviot.
Lumière : Estelle Ryba - Musique : Karinn Helbert - Video : Christophe Tostain.
Dans la maison où vivent la mère et la fille, il n’y a de place pour personne. C’est une maison/œuf où l’on
ne se parle pas, où même les sentiments semblent ne pas pénétrer. Quand vient le moment de lui faire
quitter son monde pour lui faire apprendre le langage codé des autres enfants, il y a un réveil de la mère
qui découvre soudain le sentiment d’amour et la peur de perdre sa fille.
Deux femmes envahissent l’espace mental de la petite. La Varienne, sa mère, enfermée dans un univers
de pulsions primitives, et Mademoiselle Solange, à “l’ardeur pédagogique” affirmée.
C’est une histoire d’apprentissage, de mots salvateurs qui, comme un monde à eux seuls, deviennent
vivants et prennent la forme des objets touchés, des sons entendus, des êtres regardés.
Dans ces espaces clos, celui rassurant de la maison ou oppressant de l’école, mais perméables aux
rencontres extérieures, les sons résonnent en chapelets de mots que forment les lettres et qui soudain
s’organisent pour nommer le monde et la découverte des sentiments.
Scénographie et mise en scène : Eric Louviot.
Avec Isis Louviot.
Lumière : Estelle Ryba - Musique : Karinn Helbert - Video : Christophe Tostain.
Dans la maison où vivent la mère et la fille, il n’y a de place pour personne. C’est une maison/œuf où l’on
ne se parle pas, où même les sentiments semblent ne pas pénétrer. Quand vient le moment de lui faire
quitter son monde pour lui faire apprendre le langage codé des autres enfants, il y a un réveil de la mère
qui découvre soudain le sentiment d’amour et la peur de perdre sa fille.
Deux femmes envahissent l’espace mental de la petite. La Varienne, sa mère, enfermée dans un univers
de pulsions primitives, et Mademoiselle Solange, à “l’ardeur pédagogique” affirmée.
C’est une histoire d’apprentissage, de mots salvateurs qui, comme un monde à eux seuls, deviennent
vivants et prennent la forme des objets touchés, des sons entendus, des êtres regardés.
Dans ces espaces clos, celui rassurant de la maison ou oppressant de l’école, mais perméables aux
rencontres extérieures, les sons résonnent en chapelets de mots que forment les lettres et qui soudain
s’organisent pour nommer le monde et la découverte des sentiments.
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Art et design