https://www.facebook.com/leszieurouj?fref=ts
Texte : Alain Durand
Musique ; Malik
Je t’ennuage de baisers, jusqu’à embrumer ta pensée
Et multiplie sans retenues, les caresses sur ta peau nue
Pour te prouver que tu n’es pas sage, j’enlumine ton visage
En encerclant de tes mains, ton ventre, ton cœur et tes seins
De suite Je lègue à ta pudeur, mon empressement et mes ardeurs
Pour des agaceries de dissolu, j’émousse toutes tes retenues
Maintenant je corromps ta décence, loin des sentiers de l’innocence
Et puis j’emperle par mes assauts, des gouttes de plaisir sur ta peau
J’annihile tes sens élégiaques, pour une ambiance aphrodisiaque
Toutes tes plaies dues aux malheurs, je les cautérise par ma chaleur
Et j’endimanche de fragrances, tes odeurs atones sans silence
De ce périple dans les nuages, j’anoblis ton beau visage
Je colonise ton épiderme, j’en fais ma maison mitoyenne
Je pérennise tes contours, les explorant chaque jour
J’enflamme comme pierres de silex, nos deux corps d’un plaisir connexe
Et je paraphe dans ton antre, ma signature évanescente
https://www.facebook.com/leszieurouj?fref=ts
Alors quand j’aurai démâté, que le rêve sera terminé
Je m’en retournerai sur le bas-côté, du côté de la réalité
La solitude reprendra ses droits, s’en sera fini des émois
Et je poursuivrai mon errance, dans le vide de mon existence (bis)
Texte : Alain Durand
Musique ; Malik
Je t’ennuage de baisers, jusqu’à embrumer ta pensée
Et multiplie sans retenues, les caresses sur ta peau nue
Pour te prouver que tu n’es pas sage, j’enlumine ton visage
En encerclant de tes mains, ton ventre, ton cœur et tes seins
De suite Je lègue à ta pudeur, mon empressement et mes ardeurs
Pour des agaceries de dissolu, j’émousse toutes tes retenues
Maintenant je corromps ta décence, loin des sentiers de l’innocence
Et puis j’emperle par mes assauts, des gouttes de plaisir sur ta peau
J’annihile tes sens élégiaques, pour une ambiance aphrodisiaque
Toutes tes plaies dues aux malheurs, je les cautérise par ma chaleur
Et j’endimanche de fragrances, tes odeurs atones sans silence
De ce périple dans les nuages, j’anoblis ton beau visage
Je colonise ton épiderme, j’en fais ma maison mitoyenne
Je pérennise tes contours, les explorant chaque jour
J’enflamme comme pierres de silex, nos deux corps d’un plaisir connexe
Et je paraphe dans ton antre, ma signature évanescente
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Alors quand j’aurai démâté, que le rêve sera terminé
Je m’en retournerai sur le bas-côté, du côté de la réalité
La solitude reprendra ses droits, s’en sera fini des émois
Et je poursuivrai mon errance, dans le vide de mon existence (bis)
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