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L'Œuvre française "n'avait rien à se reprocher, ceux qui la représentent ont le droit d'exister, un mouvement parfaitement respectable et qu'il ne faut pas diaboliser" par Henry de Lesquen

Libre Journal d’Henry de Lesquen du 31 mars 2014

Henry de Lesquen, assisté de Joëlle, recevait Jean-Noël Audibert, ancien conseiller municipal de Versailles, Benjamin Blanchard, juriste, responsable d’association, Jean-Yves Le Gallou, ancien député français au Parlement européen, président de Polémia, Patrick Simon, avocat, André Bercoff, journaliste, écrivain, et Jean Christaki de Germain, essayiste.

Thèmes : "bilan des élections municipales, chronique du grand-large : le rituel de la défaite de la gauche, les victimes de l’acharnement médiatique, la chronique du courrier des auditeurs".

"Ça me permet de dire une chose importante, à propos de MM. Gabriac et Benedetti. Ils appartiennent à un mouvement qui était celui de Pierre Sidos autrefois, qui s'appelle l'Œuvre française. Ce mouvement a été dissout à la suite de l'affaire Méric par M. Valls. C'est une atteinte aux libertés, ce mouvement n'avait rien à se reprocher, donc c'est une violation (...) Ce mouvement, l'Œuvre française ou ceux qui le représentent, ont le droit d'exister (…) c'est ça qui constitue réellement l’extrême droite (...) elle est représentée essentiellement par des mouvements comme l'Œuvre française, Synthèse Nationale peut-être aussi, qui sont des mouvements que je j'estime parfaitement respectable et je trouve qu'il ne faut pas diaboliser l'extrême droite".

www.radiocourtoisie.fr/18869/libre-journal-dhenry-de-lesquen-du-31-mars-2014-bilan-des-elections-municipales-chronique-du-grand-large-les-victimes-de-lacharnement-mediatique-chronique-du-courrier-des-auditeurs/

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