Répétition avec le choeur (épisode 6)
Mon répertoire personnel comprend des milliers de chants, depuis les plus anciens traditionnels ( issus du chant grégorien, des cantiques du XVII et XVIII ème siècles), jusqu'au répertoire moderne: post 2 ème guerre très inspiré des grands "péplums", des années 60 inspiré par les "negroe spirituels" et "gospels", le répertoire des années 70-90 classique (Berthier), ethno-folk (Akepsimas) et les chants des communautés nouvelles, des JEM, les chants évangéliques, pentecôtistes et ceux du renouveau charismatique international. Egalement les chants liturgiques basques en basque.
Cela ne s'improvise pas, mais se travaille, la plupart du temps, composer les harmonisations , mais sans les écrire, ça serait trop long, trop fastidieux, donc savoir, retenir, retrouver immédiatement au bon moment la bonne réponse à fournir avec mes doigts et mes pieds!
Faire répéter le choeur, c'est lui donner l'envie, et le "ton" à adopter, le "style"
parce que le "chef" ne chante pas, il dirige, et lorsque le "chef" est instrumentiste, le choeur doit chanter en osmose: regards, signe de tête, brêves indications de la main entre deux accords joués, tout est indice, même imperceptible!
Nous travaillons beaucoup, presque sans accompagnement, pour que les voix s'apprivoisent, s'harmonisent, que les choristes apprennent à se gérer. Nous échangeons les rôles aussi pour que plusieurs deviennent animateurs et qu'on obéisse aux différentes façons d'exprimer une volonté d'interprétation ou d'intervention de différents groupes.
Et notre optique principale n'est pas de "briller" d'une manière quelconque mais d'aider l'assemblée à chanter, à reprendre, à apprendre, à répondre. Nous sommes serviteurs de la liturgie et non vedettes et solistes. Beaucoup de travail pour apprendre à "diminuer" pour qu'"Il" croisse, "Il" qui? Celui en qui nous croyons , Celui qui nous fait Vivre, chanter, aimer, danser!
Mon répertoire personnel comprend des milliers de chants, depuis les plus anciens traditionnels ( issus du chant grégorien, des cantiques du XVII et XVIII ème siècles), jusqu'au répertoire moderne: post 2 ème guerre très inspiré des grands "péplums", des années 60 inspiré par les "negroe spirituels" et "gospels", le répertoire des années 70-90 classique (Berthier), ethno-folk (Akepsimas) et les chants des communautés nouvelles, des JEM, les chants évangéliques, pentecôtistes et ceux du renouveau charismatique international. Egalement les chants liturgiques basques en basque.
Cela ne s'improvise pas, mais se travaille, la plupart du temps, composer les harmonisations , mais sans les écrire, ça serait trop long, trop fastidieux, donc savoir, retenir, retrouver immédiatement au bon moment la bonne réponse à fournir avec mes doigts et mes pieds!
Faire répéter le choeur, c'est lui donner l'envie, et le "ton" à adopter, le "style"
parce que le "chef" ne chante pas, il dirige, et lorsque le "chef" est instrumentiste, le choeur doit chanter en osmose: regards, signe de tête, brêves indications de la main entre deux accords joués, tout est indice, même imperceptible!
Nous travaillons beaucoup, presque sans accompagnement, pour que les voix s'apprivoisent, s'harmonisent, que les choristes apprennent à se gérer. Nous échangeons les rôles aussi pour que plusieurs deviennent animateurs et qu'on obéisse aux différentes façons d'exprimer une volonté d'interprétation ou d'intervention de différents groupes.
Et notre optique principale n'est pas de "briller" d'une manière quelconque mais d'aider l'assemblée à chanter, à reprendre, à apprendre, à répondre. Nous sommes serviteurs de la liturgie et non vedettes et solistes. Beaucoup de travail pour apprendre à "diminuer" pour qu'"Il" croisse, "Il" qui? Celui en qui nous croyons , Celui qui nous fait Vivre, chanter, aimer, danser!
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