Maître Puntilla et son valet Matti de Bertolt Brecht dans la mise en scène d'Omar Porras.
Au Théâtre de namur du 12 au 19 avril 2008
Avec El Don Juan la saison passée, vous aurez reconnu dans le Colombien Omar Poras le digne héritier de Benno Besson. Le voilà de retour ! Avec son imaginaire luxuriant, il présente une comédie du pouvoir haute en couleurs où le génie de Brecht et le talent du metteur en scène baroque font merveilles.
Une production du Théâtre de Namur avec des acteurs belges dont l’irrésistible Jean-Luc Couchard (Le Dragon) dans le rôle principal.
L’histoire se passe dans la campagne imaginaire du Tavatsland, en Finlande. Maître Puntila est un patron riche et sans cœur.
Mais lorsqu’il a bu, il devient adorable et déborde de bienveillance envers son personnel. Son valet, Matti est la première victime de cette double personnalité. Mais il est aussi rusé !
La pièce est habillée ici avec des explosions de couleurs, des masques de cuir et de plumes, un jeu emprunt à la commedia dell’arte et un style qui émerge d’une fusion entre burlesque et expressionnisme. Le burlesque brechtien se marie remarquablement bien au style d’Omar Porras, et ce croisement du vraisemblable et du bancal remplit le spectacle d’un charme fou.
Il y a de la malice dans ces décors de carton- pâte, et surtout une terrible dose de comique dans ces costumes de déguenillés.
Au Théâtre de namur du 12 au 19 avril 2008
Avec El Don Juan la saison passée, vous aurez reconnu dans le Colombien Omar Poras le digne héritier de Benno Besson. Le voilà de retour ! Avec son imaginaire luxuriant, il présente une comédie du pouvoir haute en couleurs où le génie de Brecht et le talent du metteur en scène baroque font merveilles.
Une production du Théâtre de Namur avec des acteurs belges dont l’irrésistible Jean-Luc Couchard (Le Dragon) dans le rôle principal.
L’histoire se passe dans la campagne imaginaire du Tavatsland, en Finlande. Maître Puntila est un patron riche et sans cœur.
Mais lorsqu’il a bu, il devient adorable et déborde de bienveillance envers son personnel. Son valet, Matti est la première victime de cette double personnalité. Mais il est aussi rusé !
La pièce est habillée ici avec des explosions de couleurs, des masques de cuir et de plumes, un jeu emprunt à la commedia dell’arte et un style qui émerge d’une fusion entre burlesque et expressionnisme. Le burlesque brechtien se marie remarquablement bien au style d’Omar Porras, et ce croisement du vraisemblable et du bancal remplit le spectacle d’un charme fou.
Il y a de la malice dans ces décors de carton- pâte, et surtout une terrible dose de comique dans ces costumes de déguenillés.
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Art et design