• il y a 17 ans
Sabra dort et le coutelât du fasciste se réveille
Sabra appelle … mais qui appeler ?
Toute cette nuit m’appartient
Toute cette nuit m’appartient
Et la nuit de sel
Le fasciste lui coupe les seins
Ce qui reste de son bras
Il s’embarque dans la nuit
Danse autour de son coutelas et le lèche
Elève, à la victoire des cèdres, une chanson !
Puis sépare froidement … froidement
Sa chair de ses os
Et la mer advient !
Et la terre ferme ...
Et les nuages ...
Et le sang ...
Et la nuit ...
Et le massacre ...
Et le samedi...
Et advient Sabra !