Les putains de jours passent et se ressemblent,
Les tours cachent l’horizon, les spliffs tournent
On fait ses classes dans les cours de prison
Les sausses, la famille, disons que les grosses liasses stimulent
Enterrent les amis, souvent on y passe, mais la vie continue
Un putain de vice peut en cacher un autre
Il dissimule sa haine, la reum, elle, la rue lui a déjà pris un fils
Le daron, il parle comme il cogne, mais à force on s’habitue
Ca fout des coups, tue, le cœur bé-tom comme un bout de bitume
Il tue le temps, à moins que ce soit le contraire
Avec ses confrères dans le crime, il tombe dans tous les pièges que la rue tend
Il gratte deux-trois rimes de quartier sur les schmitts et l’Etat
Enragé une moitié du temps et l’autre pété au shit,
Il a des rêves pourtant, des envies d’exil
Guette la carte du monde, relis les lettres de son frangin au placard
Cela dit, le vrai luxe, c’est être libre, l’homme n’est pas fait pour la cage
Personne n’est parfait… comme leur dernier braquage
Alors, il gamberge en nage, allongé sur son lit superposé
Pense à changer de berge, les yeux explosés
Il pense….. (Ouais, c’est qui ? Quand ? Vas-y, j’arrive)
Il se lève, prend son …. sous le lit, enroulé dans une veste
Sourit à sa mère, lui fait un geste de la main
Claque la porte, rejoint le reste de l’équipe, les potes
Ca s’engraine, les voix portent, mais putain, on sait où ces putes traînent
La daronne guette par la fenêtre, regarde son fils partir
Cette nuit, c’est la dernière fois qu’elle entendra parler de lui
Où vont les anges…
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A Voir Egalement Un Autre Son De lino ( Milles Et Une Vies ) :
http://www.dailymotion.com/Nek-7380/video/x1poi1_lino-mille-et-une-vies
Les tours cachent l’horizon, les spliffs tournent
On fait ses classes dans les cours de prison
Les sausses, la famille, disons que les grosses liasses stimulent
Enterrent les amis, souvent on y passe, mais la vie continue
Un putain de vice peut en cacher un autre
Il dissimule sa haine, la reum, elle, la rue lui a déjà pris un fils
Le daron, il parle comme il cogne, mais à force on s’habitue
Ca fout des coups, tue, le cœur bé-tom comme un bout de bitume
Il tue le temps, à moins que ce soit le contraire
Avec ses confrères dans le crime, il tombe dans tous les pièges que la rue tend
Il gratte deux-trois rimes de quartier sur les schmitts et l’Etat
Enragé une moitié du temps et l’autre pété au shit,
Il a des rêves pourtant, des envies d’exil
Guette la carte du monde, relis les lettres de son frangin au placard
Cela dit, le vrai luxe, c’est être libre, l’homme n’est pas fait pour la cage
Personne n’est parfait… comme leur dernier braquage
Alors, il gamberge en nage, allongé sur son lit superposé
Pense à changer de berge, les yeux explosés
Il pense….. (Ouais, c’est qui ? Quand ? Vas-y, j’arrive)
Il se lève, prend son …. sous le lit, enroulé dans une veste
Sourit à sa mère, lui fait un geste de la main
Claque la porte, rejoint le reste de l’équipe, les potes
Ca s’engraine, les voix portent, mais putain, on sait où ces putes traînent
La daronne guette par la fenêtre, regarde son fils partir
Cette nuit, c’est la dernière fois qu’elle entendra parler de lui
Où vont les anges…
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