Paraissait de la mer,
Bleue jusqu'au firmament,
Le château des grandes terres
Enchanté de parements.
Etoiles scintillantes,
Aux pierres flamboyantes,
Le royaume des soleils
Déclinait ses lumières de veille.
Du haut des murailles,
La femme reine- samouraï,
Régnait en toute sagesse
Sur le peuple des abbesses.
Ce monde invisible,
Etait peuplé d'êtres aux formes
Les plus sensibles,
Sans aucune normes.
La femme reine-Samouraï pria
Et jeta alors la Pierre aux Hommes fiers,
Afin que la bataille entre les terres
Ne devienne plus qu'un combat intérieur;
La maitrise de la peur.
Accompli la Pierre s'éloigna,
Et rechercha une main ouverte.
Celle d'une vieille femme alerte
Qui, avec attention, écouta;
Son coeur battant au rythme de la musique.
A la rencontre métaphysique.
Ce que la pierre disait ,
Semblait le bruissement de douceur immortel;
D'amour et de rêve réel;
De charme teinté de mille faits.
Du don et de l'accueil des coeurs,
Du corps et de l'esprit selon nos yeux,
De la liberté de comprendre sans être vainqueur,
De l'appartenance au diable ou à Dieu
De soi à l'unicité.
Se révélait à jamais,
Agnostique, Déiste ou Athée .
Pour voir, son miroir, son âme
Voir la vie indivisible...
Être cette vieille femme.
Elle ferma les yeux et la pierre l'enveloppa doucement
pour commencer l'Histoire de l'instant.
Par William HB Altitude
Le Cycle d'Erve
Bleue jusqu'au firmament,
Le château des grandes terres
Enchanté de parements.
Etoiles scintillantes,
Aux pierres flamboyantes,
Le royaume des soleils
Déclinait ses lumières de veille.
Du haut des murailles,
La femme reine- samouraï,
Régnait en toute sagesse
Sur le peuple des abbesses.
Ce monde invisible,
Etait peuplé d'êtres aux formes
Les plus sensibles,
Sans aucune normes.
La femme reine-Samouraï pria
Et jeta alors la Pierre aux Hommes fiers,
Afin que la bataille entre les terres
Ne devienne plus qu'un combat intérieur;
La maitrise de la peur.
Accompli la Pierre s'éloigna,
Et rechercha une main ouverte.
Celle d'une vieille femme alerte
Qui, avec attention, écouta;
Son coeur battant au rythme de la musique.
A la rencontre métaphysique.
Ce que la pierre disait ,
Semblait le bruissement de douceur immortel;
D'amour et de rêve réel;
De charme teinté de mille faits.
Du don et de l'accueil des coeurs,
Du corps et de l'esprit selon nos yeux,
De la liberté de comprendre sans être vainqueur,
De l'appartenance au diable ou à Dieu
De soi à l'unicité.
Se révélait à jamais,
Agnostique, Déiste ou Athée .
Pour voir, son miroir, son âme
Voir la vie indivisible...
Être cette vieille femme.
Elle ferma les yeux et la pierre l'enveloppa doucement
pour commencer l'Histoire de l'instant.
Par William HB Altitude
Le Cycle d'Erve
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