World War Z est un film de science-fiction américain réalisé par Marc Forster, sorti en 2013. Il s'agit de l'adaptation cinématographique du roman du même nom de Max Brooks.
Synopsis
Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos.
Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroit tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation.
Erreurs techniques/ critiques
Au début du film lors de la scène de l'embouteillage, un agent de police en moto arrache le rétroviseur extérieur côté conducteur. Lorsque le héros sort du véhicule, le plan aérien nous montre le rétroviseur entre la voiture verte devant et la sienne. Sur le plan suivant lorsqu'il le ramasse, il se situe à la roue arrière gauche de la voiture verte de devant.
Il y a un faux-raccord dans la scène du supermarché. Lorsque le héros se fait tirer dessus, un bidon d'huile moteur est percé et s'écoule par terre. Sur le plan suivant, le présentoir est parfaitement rangé et le sol entièrement propre.
Le trajet en avion entre les États-Unis et la Corée du Sud est impossible. En effet, le porte-avions est « à trois cent kilomètres de Philadelphie », ce qui le rend distant de plus de 11 000 km or l'autonomie de l'Antonov An-12 permet un rayon d'action d'environ 5 500 km, réservoirs pleins. Le plan de vol ne comportant pas de ravitaillement, l'avion ne peut franchir cette distance. D'autant plus que son décollage s'est effectué d'un porte-avions (ce qui est possible pour un C-130), avec des réservoirs probablement pas remplis à pleine capacité. En outre, il est ironique que l'armée américaine utilise du matériel soviétique.
Synopsis
Un jour comme les autres, Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans un embouteillage monstre sur leur trajet quotidien. Ancien enquêteur des Nations Unies, Lane comprend immédiatement que la situation est inhabituelle. Tandis que les hélicoptères de la police sillonnent le ciel et que les motards quadrillent les rues, la ville bascule dans le chaos.
Les gens s’en prennent violemment les uns aux autres et un virus mortel semble se propager. Les êtres les plus pacifiques deviennent de redoutables ennemis. Or, les origines du fléau demeurent inconnues et le nombre de personnes infectées s’accroit tous les jours de manière exponentielle : on parle désormais de pandémie. Lorsque des hordes d’humains contaminés écrasent les armées de la planète et renversent les gouvernements les uns après les autres, Lane n’a d’autre choix que de reprendre du service pour protéger sa famille : il s’engage alors dans une quête effrénée à travers le monde pour identifier l’origine de cette menace et trouver un moyen d’enrayer sa propagation.
Erreurs techniques/ critiques
Au début du film lors de la scène de l'embouteillage, un agent de police en moto arrache le rétroviseur extérieur côté conducteur. Lorsque le héros sort du véhicule, le plan aérien nous montre le rétroviseur entre la voiture verte devant et la sienne. Sur le plan suivant lorsqu'il le ramasse, il se situe à la roue arrière gauche de la voiture verte de devant.
Il y a un faux-raccord dans la scène du supermarché. Lorsque le héros se fait tirer dessus, un bidon d'huile moteur est percé et s'écoule par terre. Sur le plan suivant, le présentoir est parfaitement rangé et le sol entièrement propre.
Le trajet en avion entre les États-Unis et la Corée du Sud est impossible. En effet, le porte-avions est « à trois cent kilomètres de Philadelphie », ce qui le rend distant de plus de 11 000 km or l'autonomie de l'Antonov An-12 permet un rayon d'action d'environ 5 500 km, réservoirs pleins. Le plan de vol ne comportant pas de ravitaillement, l'avion ne peut franchir cette distance. D'autant plus que son décollage s'est effectué d'un porte-avions (ce qui est possible pour un C-130), avec des réservoirs probablement pas remplis à pleine capacité. En outre, il est ironique que l'armée américaine utilise du matériel soviétique.
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