Avec Didier Nourrisson (chercheur et professeur d'histoire contemporaine) et Françoise Beton (fille de Jean-Claude Beton, fondateur d'Orangina).
Qui se souvient qu’Orangina trouve ses racines en Algérie ? La boisson, née en 1936, sera longtemps produite à Boufarik, petite cité agricole de la plaine de la Mitidja, au sud-est d’Alger.
C’est là qu’est installée l’orangeraie du négociant français Léon Beton, co-inventeur de la formule du célèbre concentré. La production se poursuivra tant bien que mal à Boufarik durant la guerre d’Algérie, puis sera délocalisée à Marseille après l’indépendance.
Très prisée des Algériens jusqu’au milieu des années 1980, la marque est ensuite supplantée par la concurrence de Coca-Cola et Pepsi. Elle a quasiment disparu du pays lorsqu’en 2003, une nouvelle usine Orangina ouvre ses portes à Blida…
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du cycle Au temps des archives.
Qui se souvient qu’Orangina trouve ses racines en Algérie ? La boisson, née en 1936, sera longtemps produite à Boufarik, petite cité agricole de la plaine de la Mitidja, au sud-est d’Alger.
C’est là qu’est installée l’orangeraie du négociant français Léon Beton, co-inventeur de la formule du célèbre concentré. La production se poursuivra tant bien que mal à Boufarik durant la guerre d’Algérie, puis sera délocalisée à Marseille après l’indépendance.
Très prisée des Algériens jusqu’au milieu des années 1980, la marque est ensuite supplantée par la concurrence de Coca-Cola et Pepsi. Elle a quasiment disparu du pays lorsqu’en 2003, une nouvelle usine Orangina ouvre ses portes à Blida…
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du cycle Au temps des archives.
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Éducation