GALERIE JOEL KNAFO ART ANNIE CLAIRE ALVOET APOCALYPSO
L’artiste plasticienne Annie-Claire Alvoët expose ses œuvres à la galerie Joel Knafo autour de deux expositions influencées de récits bibliques : Apocalypso et La Jussienne.
Dans un premier temps, avec Apocalypso, l’artiste s’inspire directement de textes sacrés : l’Apocalypse de Jean et le Cantique des Cantiques. Les peintures sont alors mises en récit pour retracer fidèlement les huit cantiques et les vingt-deux chapitres de l’Apocalypse. Ainsi, le thème de l’amour et de la révélation sont abordés. Les mesures des toiles parlent d’elles-mêmes. En effet, 70x70 cm sont choisi pour l’Apocalypse, 7 représentant le chiffre de la plénitude ; quant aux cantiques, 195x130 cm sont utilisés, soit l’espace nécessaire pour accueillir un couple.
Dans un second temps, avec La Jussienne, Anne-Claire Alvoët puise cette fois dans les récits religieux oraux. Il s’agit de Marie l’Egyptienne, à l’image de Marie Madeleine en plus intense. Ancienne prostituée du Ve siècle, elle décide de vouer sa vie à la religion pour se laver de ses péchés. L’artiste représente alors un corps bouleversé et partagé entre deux extrêmes : la luxure et la rédemption. Une façon de montrer la difficulté de trouver sa place dans la société. A partir de clichés de Femen, A.-C. Alvoët crée des nues morcelés encadrés par une chevelure en mouvement le tout dans des toiles carrés pour accentuer la géométrie des formes.
Dans un premier temps, avec Apocalypso, l’artiste s’inspire directement de textes sacrés : l’Apocalypse de Jean et le Cantique des Cantiques. Les peintures sont alors mises en récit pour retracer fidèlement les huit cantiques et les vingt-deux chapitres de l’Apocalypse. Ainsi, le thème de l’amour et de la révélation sont abordés. Les mesures des toiles parlent d’elles-mêmes. En effet, 70x70 cm sont choisi pour l’Apocalypse, 7 représentant le chiffre de la plénitude ; quant aux cantiques, 195x130 cm sont utilisés, soit l’espace nécessaire pour accueillir un couple.
Dans un second temps, avec La Jussienne, Anne-Claire Alvoët puise cette fois dans les récits religieux oraux. Il s’agit de Marie l’Egyptienne, à l’image de Marie Madeleine en plus intense. Ancienne prostituée du Ve siècle, elle décide de vouer sa vie à la religion pour se laver de ses péchés. L’artiste représente alors un corps bouleversé et partagé entre deux extrêmes : la luxure et la rédemption. Une façon de montrer la difficulté de trouver sa place dans la société. A partir de clichés de Femen, A.-C. Alvoët crée des nues morcelés encadrés par une chevelure en mouvement le tout dans des toiles carrés pour accentuer la géométrie des formes.
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Creativity