« Ce fut une étape ultra variée ! Nous sommes partis avec des conditions moyennes, et ensuite nous avons eu le vent dans le nez, puis de fabuleuses sessions de spi. Malheureusement, mon étai a cassé en plein milieu de la descente des côtes espagnoles, et j'ai vécu avec le stress permanent de faire tomber le mât. Le coup de chance, c'est que quand l'étai a cassé, le vent est resté portant. J'ai fait une partie sans spi pour sécuriser le mât, et quand ça a molli, j'ai pu renvoyer le spi. Heureusement, sinon je serais encore loin. J'ai un souvenir douloureux de Gijon où on avait passé 14heures devant le port, trois concurrents seulement étaient passés… Ca été un drame. Là, c'est un peu pareil, mais je suis content d'être arrivé avec mon bateau entier. Je suis content de ma place, j'ai pu gratter deux places, et j'ai laissé passer Sophie, parce qu'il faut un minimum de galanterie ! ».
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