Autotest.fr s’est rendu en Camargue pour essayer le premier Crossover de Renault : le Kadjar. Alors ce SUV a-t-il été à la hauteur de nos attentes et saura-t-il surtout vous séduire ?
Si à première vue, le Kadjar ne peut pas renier ses ressemblances avec son cousin le Qashqai, à qui il emprunte « 60% de ses composants » selon Renault. Il est loin de l’incipide Koléos… et c’est tant mieux ! Avec le Kadjar, Renault compte bien faire oublier l’échec cuisant de son Koléos et surfer sur la vague du succès générée par son Captur… Et il n’est pas difficile de lui prédire la même réussite.
Un crossover compact dans la lignée des breaks
Esthétiquement, le Kadjar trouve ses marques et séduit par ses lignes très proches d’un break. Et ce n’est pas son coffre (472l) qui dira le contraire… Sur notre version d’essai, un outil magique a fait mouche : « l’easy break »… Et attention, l’essayer, c’est l’adopter ! En un tour de main, sur simple pression d’une manette, les sièges arrière se rabattent et l’on dispose d’un coffre de break ! Déjà vu sur le nouvel Espace, nous l’avons trouvé bien plus efficace sur ce crossover. Avec en plus le siège avant rabattu, le Kadjar peut se vanter de disposer de 2,5m de long.
Le contraste entre le chrome et le rouge flamme de la carrosserie ne pourra que plaire à ses dames… Et oui, l’indémodable voiture rouge, ça marche toujours.
Son logo XXL sur la face avant prouve que Renault porte fièrement ses couleurs.
Avec une garde au sol relevée de 20 cm et des plastiques sur chaque côté des portières, le Kadjar est un baroudeur, un vrai, prêt à tailler la route.
Et d’ailleurs après l’avoir testé hors des sentiers battus, il devient difficile de dire le contraire, même en deux roues motrices le Kadjar tient la route.
Un intérieur sobre et intuitif
A l’intérieur, pas de prise de risque. La planche de bord joue sur la sobriété et ça lui va bien. On n’est pas inonder par une pluie de bouton… Le Kadjar va à l’essentiel. Du coup on s’y retrouve de suite et on s’y sent bien. L’écran tactile (7pouces) tout comme la boîte manuelle à 6 vitesses sont très intuitifs.
A noter, un petit copié/collé de l’accoudoir central… Un élément d’abord vu chez son premier concurrent : le Peugeot 3008.
A l’arrière le Kadjar revendique trois grandes places… Malheureusement, on n’est jamais à l’abri d’avoir les jambes d’Adriana Karembeu et dans ce cas, le tunnel central sur la place du milieu devient handicapant.
Malgré cela l’habitabilité générale reste très correcte.
Les sièges baquets maintiennent bien dans les virages mais le dossier reste un peu dur à la longue.
Un moteur de 160ch à venir…
Sur la route, on retrouve la sécurité des Renault précédentes avec pas mal d’aide à la conduite.
Pas de roulis, le Kadjar avale les virages avec légèreté. On note juste un confort de suspension un peu ferme mais pas de quoi se faire un lumbago.
Le plus impressionnant pour une voiture de son gabarit, c’est son rayon de braquage très souple. Ce qui le rend vraiment maniable… Un vrai plus.
Le moteur de 130 ch répond bien mais l’on regrette qu’il soit le plus puissant proposé par la marque. On a hâte de découvrir le 160 ch que Renault a promit l’année prochaine.
Les tarifs commencent à 22 900€ pour un 1,2l essence 110ch en finition Life. Soit 2 000€ de moins que le Peugeot 3008. Si le prix de base est plutôt attractif, les quatre roues motrices valent leur pesant d’or… La version 4X4 composé d’un bloc diesel de 130ch culmine à 31 300€.
Depuis le début du mois le Kadjar prend déjà la pose dans les concessions. Pour les plus indécis, Renault organise des journées portes ouvertes ce week-end, le 13 et 14 juin.
Maintenant, à vous de juger et de nous donner votre avis sur autotest.fr
Si à première vue, le Kadjar ne peut pas renier ses ressemblances avec son cousin le Qashqai, à qui il emprunte « 60% de ses composants » selon Renault. Il est loin de l’incipide Koléos… et c’est tant mieux ! Avec le Kadjar, Renault compte bien faire oublier l’échec cuisant de son Koléos et surfer sur la vague du succès générée par son Captur… Et il n’est pas difficile de lui prédire la même réussite.
Un crossover compact dans la lignée des breaks
Esthétiquement, le Kadjar trouve ses marques et séduit par ses lignes très proches d’un break. Et ce n’est pas son coffre (472l) qui dira le contraire… Sur notre version d’essai, un outil magique a fait mouche : « l’easy break »… Et attention, l’essayer, c’est l’adopter ! En un tour de main, sur simple pression d’une manette, les sièges arrière se rabattent et l’on dispose d’un coffre de break ! Déjà vu sur le nouvel Espace, nous l’avons trouvé bien plus efficace sur ce crossover. Avec en plus le siège avant rabattu, le Kadjar peut se vanter de disposer de 2,5m de long.
Le contraste entre le chrome et le rouge flamme de la carrosserie ne pourra que plaire à ses dames… Et oui, l’indémodable voiture rouge, ça marche toujours.
Son logo XXL sur la face avant prouve que Renault porte fièrement ses couleurs.
Avec une garde au sol relevée de 20 cm et des plastiques sur chaque côté des portières, le Kadjar est un baroudeur, un vrai, prêt à tailler la route.
Et d’ailleurs après l’avoir testé hors des sentiers battus, il devient difficile de dire le contraire, même en deux roues motrices le Kadjar tient la route.
Un intérieur sobre et intuitif
A l’intérieur, pas de prise de risque. La planche de bord joue sur la sobriété et ça lui va bien. On n’est pas inonder par une pluie de bouton… Le Kadjar va à l’essentiel. Du coup on s’y retrouve de suite et on s’y sent bien. L’écran tactile (7pouces) tout comme la boîte manuelle à 6 vitesses sont très intuitifs.
A noter, un petit copié/collé de l’accoudoir central… Un élément d’abord vu chez son premier concurrent : le Peugeot 3008.
A l’arrière le Kadjar revendique trois grandes places… Malheureusement, on n’est jamais à l’abri d’avoir les jambes d’Adriana Karembeu et dans ce cas, le tunnel central sur la place du milieu devient handicapant.
Malgré cela l’habitabilité générale reste très correcte.
Les sièges baquets maintiennent bien dans les virages mais le dossier reste un peu dur à la longue.
Un moteur de 160ch à venir…
Sur la route, on retrouve la sécurité des Renault précédentes avec pas mal d’aide à la conduite.
Pas de roulis, le Kadjar avale les virages avec légèreté. On note juste un confort de suspension un peu ferme mais pas de quoi se faire un lumbago.
Le plus impressionnant pour une voiture de son gabarit, c’est son rayon de braquage très souple. Ce qui le rend vraiment maniable… Un vrai plus.
Le moteur de 130 ch répond bien mais l’on regrette qu’il soit le plus puissant proposé par la marque. On a hâte de découvrir le 160 ch que Renault a promit l’année prochaine.
Les tarifs commencent à 22 900€ pour un 1,2l essence 110ch en finition Life. Soit 2 000€ de moins que le Peugeot 3008. Si le prix de base est plutôt attractif, les quatre roues motrices valent leur pesant d’or… La version 4X4 composé d’un bloc diesel de 130ch culmine à 31 300€.
Depuis le début du mois le Kadjar prend déjà la pose dans les concessions. Pour les plus indécis, Renault organise des journées portes ouvertes ce week-end, le 13 et 14 juin.
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