I.Joschke : " Il n'y avait pas de possibilité de revenir "

Isabelle Joschke : « On n'est pas couché avant deux heures du matin, c'est un peu dur de partir dimanche… Cette deuxième étape fut une étape stratégique, il y avait deux options, dont une qui n'a pas marché, donc ce n'était pas évident. Le première nuit, je n'ai pas dormi parce que ma grand-voile s'est déchirée, donc j'ai mis du temps à la réparer. Elle s'est déchirée dans le petit temps, il y avait des claquements à cause de la houle, elle s'est ouverte en grand. »