• il y a 17 ans
Le Djurdjura résonne encore des chants de nos mères et de nos grands mères,lesquelles ont chanter l'exile de leurs époux et de leurs enfants parti au loin chercher un peu de subsistance.
Le Djurdjura résonne encore des ces chants rendu hommage aux martyres de la liberté.
Les femmes kabyles telles des lionnes ont su préservé un patrimoine cent fois millénaire tellement ancien que l'Histoire ne s'en souviens pas car seul le coeur de nos mamans pouvait le contenir.
Dernièrement en regardant mes veilles tantes je me suis rendu compte qu'on avait un trésor sous les yeux mais que 'on l' a pas estimé a sa juste valeur et aussi qu'il été la pour des jour bien déterminés.

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