Juillet 2014... Ces enfant sud-soudanais, réfugiés dans le camp de Lietchuor en Ethiopie, reçoivent un vaccin qui les protègera contre le choléra.
Le geste est simple et rapide. Mais pour en arriver là, il a fallu mettre en place une organisation sans faille... qui débute à plus de 700 km de là, à l'aéroport d'Addis Abeba.
Cet exemple illustre les obstacles qui restreignent les possibilités de vacciner lors d'une urgence humanitaire. Catastrophe naturelle, déplacements de population... chaque situation implique des besoins bien spécifiques.
L'essentiel des vaccins sont administrés dans le cadre des programmes de routine, pour les nourrissons et les enfants. Mais même dans ce cas, la complexité de l'accès aux soins, le coût des vaccins et la nécessité de les conserver au froid jusqu'à leur administration restent un obstacle.
Au final, 1 enfant sur 5 dans le monde n'a pas accès à tous les vaccins nécessaires.
MSF explore également de nouvelles façons d’associer la vaccination à d’autres mesures préventives.
Revenons en Ethiopie, auprès des enfants sud-soudanais... Une fois protégés du choléra, d'autres menaces pèsent toujours sur leur santé... Quelques mois plus tard, c'est donc contre les infections respiratoires qu'MSF décide de les protéger.
Ces efforts illustrent la volonté de MSF d'augmenter le nombre de vaccins qu'elle peut fournir lors des ses interventions en urgence. Comme en Ethiopie, des milliers d'enfants ougandais ont reçu en 2014 un vaccin, le PCV, qui diminue le risque de pneumonies.
Mais ces campagnes restent une exception. Car le vaccin contre le pneumocoque est bien trop cher : 21 dollars pour trois doses, et ce dans le meilleur des cas.
Le geste est simple et rapide. Mais pour en arriver là, il a fallu mettre en place une organisation sans faille... qui débute à plus de 700 km de là, à l'aéroport d'Addis Abeba.
Cet exemple illustre les obstacles qui restreignent les possibilités de vacciner lors d'une urgence humanitaire. Catastrophe naturelle, déplacements de population... chaque situation implique des besoins bien spécifiques.
L'essentiel des vaccins sont administrés dans le cadre des programmes de routine, pour les nourrissons et les enfants. Mais même dans ce cas, la complexité de l'accès aux soins, le coût des vaccins et la nécessité de les conserver au froid jusqu'à leur administration restent un obstacle.
Au final, 1 enfant sur 5 dans le monde n'a pas accès à tous les vaccins nécessaires.
MSF explore également de nouvelles façons d’associer la vaccination à d’autres mesures préventives.
Revenons en Ethiopie, auprès des enfants sud-soudanais... Une fois protégés du choléra, d'autres menaces pèsent toujours sur leur santé... Quelques mois plus tard, c'est donc contre les infections respiratoires qu'MSF décide de les protéger.
Ces efforts illustrent la volonté de MSF d'augmenter le nombre de vaccins qu'elle peut fournir lors des ses interventions en urgence. Comme en Ethiopie, des milliers d'enfants ougandais ont reçu en 2014 un vaccin, le PCV, qui diminue le risque de pneumonies.
Mais ces campagnes restent une exception. Car le vaccin contre le pneumocoque est bien trop cher : 21 dollars pour trois doses, et ce dans le meilleur des cas.
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