• il y a 9 ans
Les chauffeurs de taxi se sont donné rendez-vous à Bruxelles pour dénoncer les services proposés par Uber. Ils sont venus de Belgique, de France, d’Espagne, d’Allemagne ou encore de Suisse pour crier leur colère face à une concurrence déloyale.
Au cœur de la contestation se trouve l’absence de taxe payée par les conducteurs qui ont recours à Uber. Pour un chauffeur venu de Genève il s’agit tout simplement « d’un travail au noir ».
Pour la start-up américaine, ces accusations n’ont pas lieu d‘être. Elle ne se voit pas comme un concurrent direct aux taxis. « Aujourd’hui Uber vient en complément des transports en commun et des taxis » précise son représentant en Europe. Mark MacGann ajoute d’ailleurs qu’Uber pourrait «  créer d’ici deux ans plus de 250 000 emplois » si la législation dans les États membres venait à évoluer.
Cet argument fait bondir les chauffeurs de taxi. Ils rappellent que de très nombreux conducteurs d’Uber ont déjà une activité professionnelle. Le transport n’est alo

Category

🗞
News

Recommandations