Film de Christian-Jaque (1959). Scénario : Gérard Oury. Dialogues : Michel Audiard. Musique : Gilbert Bécaud.
Babette (Brigitte Bardot), une jeune fille un peu naïve, s’embarque pour l’Angleterre lors de la débâcle de juin 1940. Elle est recrutée par les services de la France libre et s’éprend d’un séduisant officier, le lieutenant Gérard de Crécy-Lozère (Jacques Charrier). Tous deux sont chargés d’une mission en France : enlever le général von Arenberg (Hans Messemer), concepteur du projet d’invasion de l’Angleterre, de manière qu’on croie qu’il a déserté. Ainsi l’état-major allemand devra-t-il changer tous ses plans. Babette tombe par hasard dans les filets du chef de la Gestapo, l'obersturmfürher Schulz (Francis Blanche), qui soupçonne Arenberg de trahir. Schulz confie à son tour une mission à Babette : séduire et confondre le général. Il arrange pour cela une rencontre fortuite, et tout se passe comme prévu, à l’avantage, en réalité, des agents de Londres.
La production n’avait pas imaginé que Francis Blanche partagerait à ce point la vedette avec Brigitte Bardot, dans ce rôle burlesque et inquiétant de « Papa Schulz » qui crève l’écran. Inconvénient subséquent : pendant plusieurs années, on ne proposa plus au comédien et fantaisiste que des personnages de gestapiste borné, et il succomba une ou deux fois, dans des farces dont il ne reste rien. Pour l’anecdote, la famille ducale d’Arenberg prit très mal la coïncidence de noms, et on frôla le procès.
Avec, dans cette séquence : Pierre Bertin (le duc de Crécy-Lozère), Viviane Gosset (la duchesse), Jean Carmet, Charles Bouillaud et Philippe Clair (les trois résistants), Gunter Meisner (l’un des deux hommes de main de Schulz, qui interpréta Hitler et… sa sœur dans le film de Gérard Oury « L’as des as », en 1982, avec Jean-Paul Belmondo).
Babette (Brigitte Bardot), une jeune fille un peu naïve, s’embarque pour l’Angleterre lors de la débâcle de juin 1940. Elle est recrutée par les services de la France libre et s’éprend d’un séduisant officier, le lieutenant Gérard de Crécy-Lozère (Jacques Charrier). Tous deux sont chargés d’une mission en France : enlever le général von Arenberg (Hans Messemer), concepteur du projet d’invasion de l’Angleterre, de manière qu’on croie qu’il a déserté. Ainsi l’état-major allemand devra-t-il changer tous ses plans. Babette tombe par hasard dans les filets du chef de la Gestapo, l'obersturmfürher Schulz (Francis Blanche), qui soupçonne Arenberg de trahir. Schulz confie à son tour une mission à Babette : séduire et confondre le général. Il arrange pour cela une rencontre fortuite, et tout se passe comme prévu, à l’avantage, en réalité, des agents de Londres.
La production n’avait pas imaginé que Francis Blanche partagerait à ce point la vedette avec Brigitte Bardot, dans ce rôle burlesque et inquiétant de « Papa Schulz » qui crève l’écran. Inconvénient subséquent : pendant plusieurs années, on ne proposa plus au comédien et fantaisiste que des personnages de gestapiste borné, et il succomba une ou deux fois, dans des farces dont il ne reste rien. Pour l’anecdote, la famille ducale d’Arenberg prit très mal la coïncidence de noms, et on frôla le procès.
Avec, dans cette séquence : Pierre Bertin (le duc de Crécy-Lozère), Viviane Gosset (la duchesse), Jean Carmet, Charles Bouillaud et Philippe Clair (les trois résistants), Gunter Meisner (l’un des deux hommes de main de Schulz, qui interpréta Hitler et… sa sœur dans le film de Gérard Oury « L’as des as », en 1982, avec Jean-Paul Belmondo).
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Court métrage