Le 5 avril, les Mardi(s) du Grand Marais vous proposent une soirée avec :
FIONA WALDEN (Pop Western Electro / Paris)
Mi féminine, mi masculine, Fiona Walden est souvent double. Double, car elle joue, compose et écrit avec Saad Tabainet, multi instrumentiste, habitué à mettre des sons sur des images. Des images chez elle, il y en a pléthores, puisqu’elle définit sa musique de « Pop, électro, western » et ça lui va comme Bonnie va à Clyde. Fiona Walden n’a pas encore écumé toutes les salles de France, n’est pas nommée aux Victoires de la Musique ni programmée à Bourges ou aux Francofolies. Non, non, c’est juste une pépite brute que vous avez entre les mains. Quentin Tarantino pourrait bientôt la supplier de réaliser son premier clip.
GRAND BLANC (Pop Western Electro / Paris)
On connaît tous mille groupes français influencés par JoyDivision, mais peu finalement baignant dans le berceau de cette influence : l’environnement, le désœuvrement, le rock déchiqueté et la poésie maudite. Grand Blanc a grandi à Metz, sous infusion de mauvais sang et de chant Ferré, que sont né ces chansons inconfortables, hostiles et pourtant hautement addictives, à l’image de ce Samedi la nuit tellement poisseux, puissant, possédé, qu’il donne envie de ne rien faire.
+ Dj Virdjil
FIONA WALDEN (Pop Western Electro / Paris)
Mi féminine, mi masculine, Fiona Walden est souvent double. Double, car elle joue, compose et écrit avec Saad Tabainet, multi instrumentiste, habitué à mettre des sons sur des images. Des images chez elle, il y en a pléthores, puisqu’elle définit sa musique de « Pop, électro, western » et ça lui va comme Bonnie va à Clyde. Fiona Walden n’a pas encore écumé toutes les salles de France, n’est pas nommée aux Victoires de la Musique ni programmée à Bourges ou aux Francofolies. Non, non, c’est juste une pépite brute que vous avez entre les mains. Quentin Tarantino pourrait bientôt la supplier de réaliser son premier clip.
GRAND BLANC (Pop Western Electro / Paris)
On connaît tous mille groupes français influencés par JoyDivision, mais peu finalement baignant dans le berceau de cette influence : l’environnement, le désœuvrement, le rock déchiqueté et la poésie maudite. Grand Blanc a grandi à Metz, sous infusion de mauvais sang et de chant Ferré, que sont né ces chansons inconfortables, hostiles et pourtant hautement addictives, à l’image de ce Samedi la nuit tellement poisseux, puissant, possédé, qu’il donne envie de ne rien faire.
+ Dj Virdjil
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🎵
Musique