Quand on place un parent ou un grand-parent dans une maison de retraite, on craint la plupart du temps le comportement des aides-soignantes. Les directeurs des établissements se montrent, par conséquent, rassurants et bienveillants, donc on se confie plus facilement.
Sauf que des fois, dans les maisons de retraite, on maltraite sadiquement des personnes âgées, surtout celles qui sont atteintes d’Alzheimer. Un certain Camille Parent a été obligé de placer sa mère dans une maison de retraite, faute de temps et en raison de nombreux engagements.
C’est alors que le pire arriva: son fils découvre un jour, alors qu’il est parti visiter sa mère Helen, un énorme cocard sur son visage. Camille, interpellé, demande à sa mère comment un tel incident a pu se passer. Cette dernière n’a pu répondre, étant donné qu’elle oublie constamment…
Camille a donc eu l’idée de placer des caméras de surveillance, afin de découvrir ce qui pouvait se passer lors de son absence. Il s’aperçoit, quelques jours après, qu’Helen a été sauvagement maltraitée…
Tout d’abord, nous remarquons dans la première scène un ignoble aide-soignant, qui se mouche le nez dans les draps d’Helen.
Ensuite, nous pouvons noter la présence du même aide-soignant avec une infirmière, s’embrassant puis se caressant sans pudeur. La pauvre Helen, embarrassée, tourne le dos afin de ne pas assister à ce spectacle plus que gênant. Puis, arriva le pire: quand l’infirmière devait changer la couche d’Helen, elle la lui ôte, puis la place devant son visage, en colère, lui reprochant d’avoir fait ses besoins dedans. Est-ce un comportement humain? Comment peut-on être si cruel? N’a-t-elle pas honte?!
Cerise sur le gâteau: d’autres résidents de la maison de retraite mènent eux aussi la vie dure à Helen. Ils se permettent en effet d’entrer dans sa chambre et de lui piquer ses affaires. Son fils, choqué par ces séquences, demande lors d’une interview comment peut-il leur faire confiance à nouveau et surtout, comment les gens peuvent faire confiance à cet établissement? Ils ont parlé d’amour, de compassion, de respect ainsi que dignité, mais tout le contraire a été prouvé!
Le directeur de la maison de retraite ne trouve rien à dire à part le fait qu’il est choqué et qu’il ferait de sorte que cet incident ne se reproduise plus. On a envie de lui dire: « Trop tard, le mal est fait! »
Découvrez quelques photos de ce dram et n'hésitez pas à dénoncer ces abus qui existent malheureusement dans pas mal d'endroits !
Sauf que des fois, dans les maisons de retraite, on maltraite sadiquement des personnes âgées, surtout celles qui sont atteintes d’Alzheimer. Un certain Camille Parent a été obligé de placer sa mère dans une maison de retraite, faute de temps et en raison de nombreux engagements.
C’est alors que le pire arriva: son fils découvre un jour, alors qu’il est parti visiter sa mère Helen, un énorme cocard sur son visage. Camille, interpellé, demande à sa mère comment un tel incident a pu se passer. Cette dernière n’a pu répondre, étant donné qu’elle oublie constamment…
Camille a donc eu l’idée de placer des caméras de surveillance, afin de découvrir ce qui pouvait se passer lors de son absence. Il s’aperçoit, quelques jours après, qu’Helen a été sauvagement maltraitée…
Tout d’abord, nous remarquons dans la première scène un ignoble aide-soignant, qui se mouche le nez dans les draps d’Helen.
Ensuite, nous pouvons noter la présence du même aide-soignant avec une infirmière, s’embrassant puis se caressant sans pudeur. La pauvre Helen, embarrassée, tourne le dos afin de ne pas assister à ce spectacle plus que gênant. Puis, arriva le pire: quand l’infirmière devait changer la couche d’Helen, elle la lui ôte, puis la place devant son visage, en colère, lui reprochant d’avoir fait ses besoins dedans. Est-ce un comportement humain? Comment peut-on être si cruel? N’a-t-elle pas honte?!
Cerise sur le gâteau: d’autres résidents de la maison de retraite mènent eux aussi la vie dure à Helen. Ils se permettent en effet d’entrer dans sa chambre et de lui piquer ses affaires. Son fils, choqué par ces séquences, demande lors d’une interview comment peut-il leur faire confiance à nouveau et surtout, comment les gens peuvent faire confiance à cet établissement? Ils ont parlé d’amour, de compassion, de respect ainsi que dignité, mais tout le contraire a été prouvé!
Le directeur de la maison de retraite ne trouve rien à dire à part le fait qu’il est choqué et qu’il ferait de sorte que cet incident ne se reproduise plus. On a envie de lui dire: « Trop tard, le mal est fait! »
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