«Deschamps a cédé sous la pression d’une partie raciste de la France.» Les déclarations de Karim Benzema, dans le journal espagnol Marca, font réagir ce matin. Et pas seulement dans la sphère footballistique.
Les élus politiques invités des interviews matinales ont tous, ou presque, répondu à l’attaquant du Real Madrid et de l’équipe de France. Quand Nathalie Kosciusko-Morizet (LR) juge ces propos «inacceptables» et «scandaleux», d’autres estiment que le tout récent vainqueur de la Ligue des Champions n’a pas totalement tort. Ainsi, Benoît Hamon «pense que Benzema a raison de dire que nous sommes dans un pays où le racisme augmente. […] Je pense qu’il dit en tout cas qu’il y a un climat qui est un climat, aujourd’hui, qui amène beaucoup de Français, hélas, à se choisir un bouc-émissaire. Et les boucs-émissaires ont toujours, toujours, toujours la même tête.»
Les élus politiques invités des interviews matinales ont tous, ou presque, répondu à l’attaquant du Real Madrid et de l’équipe de France. Quand Nathalie Kosciusko-Morizet (LR) juge ces propos «inacceptables» et «scandaleux», d’autres estiment que le tout récent vainqueur de la Ligue des Champions n’a pas totalement tort. Ainsi, Benoît Hamon «pense que Benzema a raison de dire que nous sommes dans un pays où le racisme augmente. […] Je pense qu’il dit en tout cas qu’il y a un climat qui est un climat, aujourd’hui, qui amène beaucoup de Français, hélas, à se choisir un bouc-émissaire. Et les boucs-émissaires ont toujours, toujours, toujours la même tête.»
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