Au programme de la saison 2016-2017 du Théâtre Toursky à Marseille, ne ratez pas Le Mensonge les vendredi 14 et samedi 15 novembre 2016 à 21h !
Avec Pierre Arditi et Evelyne Bouix
Après avoir triomphé dans La vérité il y a quelques années, Pierre Arditi remonte sur scène dans Le mensonge, une pièce écrite spécialement pour lui par Florian Zeller.
Deux couples bourgeois, amis de longue date, Alice et Paul d’un côté, Laurence et Michel de l’autre, se retrouvent pour dîner. Mais Alice est gênée car, avoue-t-elle à Paul, elle a surpris Michel dans la rue en train d’embrasser une autre femme. Que faire ? Le dire ou pas ? Annuler le dîner ? Trop tard, les invités arrivent… S’engage alors une conversation à eurets mouchetés entre un quatuor d’acteurs remarquables. Et, alors que Paul – Pierre Arditi – tente de convaincre Alice que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, il fait ainsi l’éloge du mensonge… Est-ce seulement pour défendre son ami ? Ou bien aurait-il lui aussi des choses à cacher ? Nous voici emportés dans un tourbillon de petites phrases aigres et acerbes, au fil desquelles la vérité se camoufle au point que bien malin celui qui pourrait la débusquer.
Evidemment, le thème est cousu de fil blanc, trame de tant d’excellents vaudevilles. D’ailleurs, on rit beaucoup. Mais pas que. En écrivain talentueux, Florian Zeller leste la farce d’une complexité qui évoque les arrangements, souvent douloureux, que chacun fait avec la vie et avec soi. Sous la houlette trépidante de Bernard Murat, les acteurs sont incroyables, tout en finesse, en candides épatants. Evelyne Bouix est excellente et Pierre Arditi, lui, est tout simplement grandiose en acrobate des expressions et des sentiments. Avec Paul, qui ne cesse de jouer, le voici tantôt manipulateur, excessif, roublard, tantôt sincère, souffrant ou triste : s’il est une vérité à retenir, c’est qu’Arditi touche ici au grand art.
Une philosophie du mensonge superbement interprétée.
Mise en scène : Bernard Murat, assisté de Léa Moussy
Décors : Nicolas Sire
Musique : Benjamin Murat
Costumes : Carine Sarfati
Lumières : Laurent Castaingt
Avec Pierre Arditi, Evelyne Bouix, Jean-Michel Dupuis et Josiane Stoléru
Durée : 1H40
Avec Pierre Arditi et Evelyne Bouix
Après avoir triomphé dans La vérité il y a quelques années, Pierre Arditi remonte sur scène dans Le mensonge, une pièce écrite spécialement pour lui par Florian Zeller.
Deux couples bourgeois, amis de longue date, Alice et Paul d’un côté, Laurence et Michel de l’autre, se retrouvent pour dîner. Mais Alice est gênée car, avoue-t-elle à Paul, elle a surpris Michel dans la rue en train d’embrasser une autre femme. Que faire ? Le dire ou pas ? Annuler le dîner ? Trop tard, les invités arrivent… S’engage alors une conversation à eurets mouchetés entre un quatuor d’acteurs remarquables. Et, alors que Paul – Pierre Arditi – tente de convaincre Alice que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, il fait ainsi l’éloge du mensonge… Est-ce seulement pour défendre son ami ? Ou bien aurait-il lui aussi des choses à cacher ? Nous voici emportés dans un tourbillon de petites phrases aigres et acerbes, au fil desquelles la vérité se camoufle au point que bien malin celui qui pourrait la débusquer.
Evidemment, le thème est cousu de fil blanc, trame de tant d’excellents vaudevilles. D’ailleurs, on rit beaucoup. Mais pas que. En écrivain talentueux, Florian Zeller leste la farce d’une complexité qui évoque les arrangements, souvent douloureux, que chacun fait avec la vie et avec soi. Sous la houlette trépidante de Bernard Murat, les acteurs sont incroyables, tout en finesse, en candides épatants. Evelyne Bouix est excellente et Pierre Arditi, lui, est tout simplement grandiose en acrobate des expressions et des sentiments. Avec Paul, qui ne cesse de jouer, le voici tantôt manipulateur, excessif, roublard, tantôt sincère, souffrant ou triste : s’il est une vérité à retenir, c’est qu’Arditi touche ici au grand art.
Une philosophie du mensonge superbement interprétée.
Mise en scène : Bernard Murat, assisté de Léa Moussy
Décors : Nicolas Sire
Musique : Benjamin Murat
Costumes : Carine Sarfati
Lumières : Laurent Castaingt
Avec Pierre Arditi, Evelyne Bouix, Jean-Michel Dupuis et Josiane Stoléru
Durée : 1H40
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