Preljocaj : Eldorado
À la veille de la représentation d'Eldorado (Sonntags Abschied) au Théâtre de la Ville, le cinéaste Olivier Assayas retrace, dans un superbe film, la genèse de cette chorégraphie et l'entrée en résonance de deux univers artistiques, celui de Preljocaj et celui de Stockhausen.
En 2005, le chorégraphe Angelin Preljocaj se rend à Cologne dans les studios de Karlheinz Stockhausen. Le compositeur veut lui faire écouter sa dernière oeuvre, Sonntags Abschied, et souhaite la lui confier. Séduit, le chorégraphe accepte cette deuxième incursion dans l'oeuvre du compositeur allemand, qui lui avait déjà inspiré Helikopter en 2001. Sonntags Abschied est la création d'un homme très croyant. Conçue pour cinq synthétiseurs, elle orchestre, dans une complexe alchimie de sons aux tempos différents, les multiples palpitations de l'univers. Cette partition mystique inspire au chorégraphe l'idée d'un paradis perdu. Pour la scénographie et les costumes, il décide de faire appel à la plasticienne Nicole Tran Ba Vang dont les photos de corps en mutation, clonés, brodés, lui semblent interagir avec l'oeuvre qu'il prépare. Les répétitions commencent début 2007 avec un groupe de douze danseurs.
(France, 2007, 90mn)
ARTE F
Réalisateur: Olivier Assayas
À la veille de la représentation d'Eldorado (Sonntags Abschied) au Théâtre de la Ville, le cinéaste Olivier Assayas retrace, dans un superbe film, la genèse de cette chorégraphie et l'entrée en résonance de deux univers artistiques, celui de Preljocaj et celui de Stockhausen.
En 2005, le chorégraphe Angelin Preljocaj se rend à Cologne dans les studios de Karlheinz Stockhausen. Le compositeur veut lui faire écouter sa dernière oeuvre, Sonntags Abschied, et souhaite la lui confier. Séduit, le chorégraphe accepte cette deuxième incursion dans l'oeuvre du compositeur allemand, qui lui avait déjà inspiré Helikopter en 2001. Sonntags Abschied est la création d'un homme très croyant. Conçue pour cinq synthétiseurs, elle orchestre, dans une complexe alchimie de sons aux tempos différents, les multiples palpitations de l'univers. Cette partition mystique inspire au chorégraphe l'idée d'un paradis perdu. Pour la scénographie et les costumes, il décide de faire appel à la plasticienne Nicole Tran Ba Vang dont les photos de corps en mutation, clonés, brodés, lui semblent interagir avec l'oeuvre qu'il prépare. Les répétitions commencent début 2007 avec un groupe de douze danseurs.
(France, 2007, 90mn)
ARTE F
Réalisateur: Olivier Assayas
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Art et design