• il y a 8 ans
Ce film est une réalisation des élèves du lycée St Genès dans le cadre des Ecritures contemporaines proposées par l 'IDDAC. Basé sur le projet « De Mémoire d’homme… »de Mata-Malam, série d’actions structurées autour du spectacle : « Que Ta volonté soit fête… »de Valentine Cohen d ’après Etty Hillesum, le travail sonore s'est poursuivi, mené auprès des élèves par la Cie Intérieur Nuit.

Depuis quelques années, le discours de haine est devenu l’une des formes les plus répandues d’atteinte aux droits de l’homme, entraînant des conséquences graves dans le monde virtuel comme dans le monde réel.
Par ce travail direct auprès des jeunes, nous espérons appartenir au contre-point qui pèsera dans la balance.

le but est de transmettre la mémoire de ces moment charnières de l’histoire auprès des jeunes.

• Les sensibiliser aux faits liés aux crimes de génocide.
• transmettre le message de tolérance d’Etty Hillesum.
• faire découvrir aux jeunes cette partie de l’histoire collective.
• échanger autour des thèmes soulevés par les textes de Rithy Pan, de Rwanda 94, d’Etty Hillesum (l’engagement, la communauté, l’audace de vivre, le travail sur soi, la psychothérapie, la guerre, la haine de l’autre, l’amour de l’autre, l’acceptation…)
• Créer la base d'un dialogue et d'un apprentissage en commun.
• Developer la réflexion critique.
• Renforcer la défense des valeurs humaines et démocratiques.

Préalablement au remarquable travail sonore effectué par Yvan Blanloeil et Karina Ketz de la cie Intérieur Nuit, nous avons donc, lors d’une dizaine d’ateliers – procéder :
A la Présentation et à la lecture de textes d’Esther Hillesum (dite Etty).
Au visionnage d’extraits de films ( De mémoire d’homme » de V Cohen / Nuit et brouillard d’Alain Resnais) .
A la définition du mot « génocide » et à la présentation des génocides du 20ème siècle

- à des lectures théâtralisées de textes présentées en Janvier 2016 au Théâtre du Pont Tournant ( Bordeaux), en 1ère partie du spectacle « Que Ta volonté soit fête … » et dans des lieux de mémoire pour la journée de commémoration des génocides, le 27 janvier 2016.
Merci à tous les participants et à Angélique Caron, enseignante engagée et trait d'union actif et indispensable.

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