Qui, sous la signature du Dragon Vert, veut extorquer la coquette somme de cent mille dollars ? Herbert Aboody, directeur d'une affaire d'import-export à Shanghai ? Pour rassembler la somme, Aboody tente de convaincre sa femme Floriane de céder ses bijoux, mais celle-ci refuse. Ce sera alors au détective privé Wenceslas Vorobeïtchik, alias M. Wens, de mener l’obligé à passer la nuit du 12 au 13 avec son client, ultime délai pour qu'Aboody paie ou meure. Peu après minuit, des coups de feu éclatent dans les bureaux : Aboody est mort, Wens grièvement blessé. C'est au tour du commissaire Malaise de mettre cette affaire en lumière malgré le grand nombre de suspects ...
Les romans de Stanislas-André Steeman ont été adaptés au cinéma par de nombreux grands cinéastes, dont Henri-Georges Clouzot (L’assassin habite au 21 en 1942 et en 1946). En 1950, c’est Roger Blanc qui lui demande une adaptation de son roman intitulé La nuit du 12 au 13 et dans lequel l’écrivain tient le rôle du comptable bougon. Avec ce film, c’est tout l’univers des films noirs qui surgit : Shanghai dont l’exotisme oriental rappelle aux cinéphiles les grands classiques du cinéma, et le système "Euphonic" sonore aujourd’hui disparu qui donne un son tout à fait particulier au film.
Mais c’est sans doute en créant une nouvelle collection DVD intitulée Made in Belgium que les édition Come-and-see accès à certaines oeuvres oubliées. Dans le cas de Mystère à Shanghai, c’est toute la tradition du cinéma policier de la fin des années 40 et du début des années 50 qui ressurgit. Chacun des longs-métrages ainsi édités est accompagné d'un court-métrage en bonus, en lien avec le cinéma belge, lui aussi.
Les romans de Stanislas-André Steeman ont été adaptés au cinéma par de nombreux grands cinéastes, dont Henri-Georges Clouzot (L’assassin habite au 21 en 1942 et en 1946). En 1950, c’est Roger Blanc qui lui demande une adaptation de son roman intitulé La nuit du 12 au 13 et dans lequel l’écrivain tient le rôle du comptable bougon. Avec ce film, c’est tout l’univers des films noirs qui surgit : Shanghai dont l’exotisme oriental rappelle aux cinéphiles les grands classiques du cinéma, et le système "Euphonic" sonore aujourd’hui disparu qui donne un son tout à fait particulier au film.
Mais c’est sans doute en créant une nouvelle collection DVD intitulée Made in Belgium que les édition Come-and-see accès à certaines oeuvres oubliées. Dans le cas de Mystère à Shanghai, c’est toute la tradition du cinéma policier de la fin des années 40 et du début des années 50 qui ressurgit. Chacun des longs-métrages ainsi édités est accompagné d'un court-métrage en bonus, en lien avec le cinéma belge, lui aussi.
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