• il y a 16 ans
D’origine cubaine, l’auteure Nivaria Tejera fuit la dictature castriste dans les années 60 pour s’installer à Paris. En 1987, paraît la traduction française de « Fuir la spirale » par Jean-Marie Saint Lu aux édition Acte Sud. Marquée par les thématiques du déracinement, de la dictature et de la révolte, l’œuvre expérimente une écriture naviguant entre prose et poésie, caractérisée par un rythme proche de l’oralité. En 2005, séduit par cette écriture singulière, le Groupe anonyme adapte cette œuvre en une création sonore et visuelle. Entre mouvement et enfermement, onirisme et réalité, le film nous emmène dans un voyage halluciné - le parcours d’un exilé en proie à l’illusion d’un improbable retour - entre Paris et La Havane.
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