Le 24 janvier 2008, la Société Générale annonçait avoir été victime d'une fraude à hauteur de 4,9 milliards d'euros. Des pertes astronomiques dues, selon la banque à la faute d'un seul courtier. L'identité de ce dernier ne tardait pas à filtrer dans la presse : il s'appelle Jérôme Kerviel.
En quelques mois, le nom du trader fait le tour du monde. L'affaire fait grand bruit et aboutit, le 5 octobre 2010, à la condamnation de Jérôme Kerviel à cinq années d'emprisonnement (dont deux avec sursis) et au versement de 4,9 milliards d'euros, une somme record, à son ancien employeur au titre des dommages et intérêts.
Ce vendredi, la Cour d'appel de Versailles examinait son recours ; celle-ci a finalement réduit, au terme de huit années de procédure, la sanction financière à un million d'euros.
En quelques mois, le nom du trader fait le tour du monde. L'affaire fait grand bruit et aboutit, le 5 octobre 2010, à la condamnation de Jérôme Kerviel à cinq années d'emprisonnement (dont deux avec sursis) et au versement de 4,9 milliards d'euros, une somme record, à son ancien employeur au titre des dommages et intérêts.
Ce vendredi, la Cour d'appel de Versailles examinait son recours ; celle-ci a finalement réduit, au terme de huit années de procédure, la sanction financière à un million d'euros.
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