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Traumatisant ! Cet épisode a basculé sa vie
Une rude épreuve qui a dévasté Stephanie Giorgi ! La jeune femme a confié avoir été violée deux jours avant son vingt-septième anniversaire. Ce soir-là, la jeune femme était sortie avec des amis et avait consommé beaucoup d’alcool.
“J’étais la fille que personne ne voulait être tellement j’étais saoule. Mes amis me disaient que je devais vraiment rentrer chez moi et ont fini par appeler un taxi. J’ai été agressée sexuellement par le conducteur. Entre le moment où l’on me conduisait chez moi et le moment où je me suis réveillée, j’ai été violée”, a-t-elle expliqué.
De cette nuit où sa vie a basculé, Stephanie Giorgi ne se rappelle que de brefs moments : celui où elle est montée dans la voiture, celui où elle est arrivée chez elle et celui où elle a discuté avec le conducteur. Ce n’est que le lendemain matin que la jeune femme a commencé à avoir des flashs et à se rendre compte de ce qui a pu se passer cette nuit-là.
Au lieu d’essayer de se remémorer les événements, de prononcer le mot viol, Stephanie Girgi a préféré les fuir. “Dès que quelqu’un essayait de m’en parler, je changeais de sujets. J’avais peur car la société est telle qu’on se dit que tout le monde va penser que je suis responsable de ce qui s’est passé”, poursuit-elle.
Mais se dire qu’un événement n’a pas eu lieu, ne le fait pas pour autant disparaître. On a beau le ranger dans un coin de notre tête, il finit toujours par ressurgir, d’une manière ou d’une autre. Le 18 juillet dernier, alors qu’elle était sous la douche, Stephanie Giorgi a remarqué que ses cheveux tombaient par poignées. Ce n’était ni son shampoing, sa brosse ou une carence en vitamines qui faisaient tomber ses cheveux. C’était son corps qui lui envoyait un message :
“Mon corps a pleuré pour moi. Mon corps me disait : tu as raison de penser que ce qui est arrivé cette nuit-là n’est pas normal. Et si tu refuses de t’y confronter, je vais te donner d’autres préoccupations. Mon corps me parlait”.
Après avoir perdu une importante quantité de cheveux, Stephanie Giorgi s’est rendue chez son médecin et a découvert qu’elle était en parfaite santé mais que son corps réagissait au traumatisme dont elle a été victime. Le 29 septembre dernier, la jeune femme a décidé de raser le peu de cheveux qui lui restait afin de porter une perruque :
“Ça a été une bouffée d’air car je n’avais plus à voir mes cheveux tomber. J’aurais aimé vous dire que je me suis rasé la tête et ensuite parader fièrement comme Amber Rose, mais ce n’est pas la vérité. Je n’avais aucun contrôle sur mes cheveux."
Aujourd’hui, Stephanie Giorgi n’a qu’un regret, celui de ne pas s’être écoutée plus tôt, de ne pas avoir accepté les flashbacks. En rendant son histoire publique, la jeune femme de 27 ans espère pouvoir aider les autres femmes, afin qu’elles ne commettent pas la même erreur qu’elle et qu’elles parlent :
“Si personne ne te croit, je te crois. Ce n’est pas de ta faute. Tu es belle et forte. Parce que tu te sens faible aujourd’hui ne signifie pas que tu as perdu ta force. Tu mérites et tu obtiendras ton “tout est bien qui finit bien”.
Source : http://www.letribunaldunet.fr/insolite/amie-ivre-nuit-terrible-cheveux.html?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook&utm_term=TDN#link_time=1479433960
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Traumatisant ! Cet épisode a basculé sa vie
Une rude épreuve qui a dévasté Stephanie Giorgi ! La jeune femme a confié avoir été violée deux jours avant son vingt-septième anniversaire. Ce soir-là, la jeune femme était sortie avec des amis et avait consommé beaucoup d’alcool.
“J’étais la fille que personne ne voulait être tellement j’étais saoule. Mes amis me disaient que je devais vraiment rentrer chez moi et ont fini par appeler un taxi. J’ai été agressée sexuellement par le conducteur. Entre le moment où l’on me conduisait chez moi et le moment où je me suis réveillée, j’ai été violée”, a-t-elle expliqué.
De cette nuit où sa vie a basculé, Stephanie Giorgi ne se rappelle que de brefs moments : celui où elle est montée dans la voiture, celui où elle est arrivée chez elle et celui où elle a discuté avec le conducteur. Ce n’est que le lendemain matin que la jeune femme a commencé à avoir des flashs et à se rendre compte de ce qui a pu se passer cette nuit-là.
Au lieu d’essayer de se remémorer les événements, de prononcer le mot viol, Stephanie Girgi a préféré les fuir. “Dès que quelqu’un essayait de m’en parler, je changeais de sujets. J’avais peur car la société est telle qu’on se dit que tout le monde va penser que je suis responsable de ce qui s’est passé”, poursuit-elle.
Mais se dire qu’un événement n’a pas eu lieu, ne le fait pas pour autant disparaître. On a beau le ranger dans un coin de notre tête, il finit toujours par ressurgir, d’une manière ou d’une autre. Le 18 juillet dernier, alors qu’elle était sous la douche, Stephanie Giorgi a remarqué que ses cheveux tombaient par poignées. Ce n’était ni son shampoing, sa brosse ou une carence en vitamines qui faisaient tomber ses cheveux. C’était son corps qui lui envoyait un message :
“Mon corps a pleuré pour moi. Mon corps me disait : tu as raison de penser que ce qui est arrivé cette nuit-là n’est pas normal. Et si tu refuses de t’y confronter, je vais te donner d’autres préoccupations. Mon corps me parlait”.
Après avoir perdu une importante quantité de cheveux, Stephanie Giorgi s’est rendue chez son médecin et a découvert qu’elle était en parfaite santé mais que son corps réagissait au traumatisme dont elle a été victime. Le 29 septembre dernier, la jeune femme a décidé de raser le peu de cheveux qui lui restait afin de porter une perruque :
“Ça a été une bouffée d’air car je n’avais plus à voir mes cheveux tomber. J’aurais aimé vous dire que je me suis rasé la tête et ensuite parader fièrement comme Amber Rose, mais ce n’est pas la vérité. Je n’avais aucun contrôle sur mes cheveux."
Aujourd’hui, Stephanie Giorgi n’a qu’un regret, celui de ne pas s’être écoutée plus tôt, de ne pas avoir accepté les flashbacks. En rendant son histoire publique, la jeune femme de 27 ans espère pouvoir aider les autres femmes, afin qu’elles ne commettent pas la même erreur qu’elle et qu’elles parlent :
“Si personne ne te croit, je te crois. Ce n’est pas de ta faute. Tu es belle et forte. Parce que tu te sens faible aujourd’hui ne signifie pas que tu as perdu ta force. Tu mérites et tu obtiendras ton “tout est bien qui finit bien”.
Source : http://www.letribunaldunet.fr/insolite/amie-ivre-nuit-terrible-cheveux.html?utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook&utm_term=TDN#link_time=1479433960
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