35 heures, réduction des déficits, embauche de profs, affaires internes au PS... François Hollande et Martine Aubry, finalistes de la primaire de la gauche en 2011, s’étaient écharpés sur de nombreux sujets lors de l’ultime débat de l’entre-deux-tours. La maire de Lille et le député de Corrèze étaient notamment en désaccord sur la façon de voir la gauche. Aubry avait attaqué Hollande en suggérant (sans le dire ouvertement) qu’il représentait la «[px_nbsp:nbsp]gauche molle[px_nbsp:nbsp]». Celui-ci s’en défendait disant incarner une «[px_nbsp:nbsp]gauche solide[px_nbsp:nbsp]».
« Je n’ai pas besoin d’expliquer que je ne suis pas la gauche molle » avait expliqué Martine Aubry. « Je constate que Martine n’évoque personne. On sort de cinq ans d’une présidence brutale et nous, on serait dans une présidence sectaire? Je ne suis pas la gauche molle » avait répliqué François Hollande. La maire de Lille était ensuite revenue à la charge disant notamment : « ce qui est gênant entre nous, ce n’est pas le débat, c’est le flou». Un reproche que le futur président de la République ne comprenait pas. Pour lui, il était «[px_nbsp:nbsp]clair sur l’ensemble[px_nbsp:nbsp]» des sujets. Un débat plus animé que celui entre François Fillon et Alain Juppé jeudi soir.
« Je n’ai pas besoin d’expliquer que je ne suis pas la gauche molle » avait expliqué Martine Aubry. « Je constate que Martine n’évoque personne. On sort de cinq ans d’une présidence brutale et nous, on serait dans une présidence sectaire? Je ne suis pas la gauche molle » avait répliqué François Hollande. La maire de Lille était ensuite revenue à la charge disant notamment : « ce qui est gênant entre nous, ce n’est pas le débat, c’est le flou». Un reproche que le futur président de la République ne comprenait pas. Pour lui, il était «[px_nbsp:nbsp]clair sur l’ensemble[px_nbsp:nbsp]» des sujets. Un débat plus animé que celui entre François Fillon et Alain Juppé jeudi soir.
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