• il y a 8 ans
Maria Ines Candido da Silva a 36 ans et est employée comme serveuse dans un restaurant au nord-est du Brésil.



Alors qu’elle est en service et qu’elle s’occupe de ses clients, comme à son habitude, une bouteille de gaz explose et la brésilienne doit être transportée d’urgence à l’hôpital, sévèrement brûlée au visage, aux bras, et au cou.
Une douleur insoutenable, à tel point qu’on lui annonce qu’elle risque d’être défigurée, mais dans son horrible malchance, elle va avoir la chance de tester un nouveau traitement pour les grands brûlés.




Le principe du traitement est d’utiliser de la peau du poisson «Tilapia », qui permettrait, en plus d’être résistante face aux maladies, d’aider la peau à se reconstituer. Une fois nettoyée, il faut la découper en tranches de 10 à 20 cm et congeler le tout 2 ans pour s’en servir comme pansement.





Maria était la première patiente à tester ce traitement, suivie de 50 autres personnes depuis. Rien ne certifiait que les tests seraient concluants après les recherches en laboratoire mais après une vingtaine de jours de traitement, de pansements et l’impression d’être dans un film d’horreur avec toutes ces écailles, les résultats sont époustouflants.



Entièrement réparée, sa peau est toute douce et la jeune femme est tellement ravie du traitement qu’elle en est devenue porte-parole.




« J’ai adoré le traitement et je le recommande à tous ceux qui ont souffert comme moi. »





Un traitement visiblement très efficace et qui, si on se réfère au prix de la matière première, coûtera bien moins cher à la fabrication, allégeant le porte-feuille du malade par la même occasion.

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