Alma Deutscher n’est pas qu’une de ces jeunes pianistes de génie. A 11 ans Alma est aussi compositrice.
Vendredi à Vienne, en Autriche, la fillette a présenté au public Cendrillon, le fameux conte de Perrault qu’elle a entièrement réécrit et mis en musique. Et à en croire les crititques : ce fut un grand
succès.
La Cendrillon d’Alma Deutscher n’est pas retrouvée par son prince charmant grâce à son chausson de“verre”:https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_sur_la_composition_des_pantoufles_de_Cendrillon mais par un chant envoûtant que le prince fredonne et que seule Cendrillon est capable de terminer.
Mais comment cette fillette trouve-t-elle son inspiration ? Parfois, en sautant à la corde, dit-elle. Ou en se reposant. “Une fois que j’ai la mélodie en tête, j’improvise un état d’esprit et juste après j‘écris la musique avant que je ne l’oublie pour que la mélodie se transmette jusqu’au bout de mes doigts.”
Si Alma est encouragée par ses parents, elle n’est pas poussée à bout, jure son père : “Avec Alma c’est juste le contraire. On fait tout pour la retenir. A la maison on lui dit qu’elle n’a pas besoin d‘être comme Mozart, que c’est déjà bien qu’elle puisse écrire sa propre musique”.
“Il n’y a jamais eu qu’un seul Mozart et je préfèrerais être la première Alma qu’un autre Mozart”, précise, sûre d’elle, la jeune compositrice.
Deux autres représentations de Cendrillon sont programmées à Vienne les 4 et 5 janvier.
Vendredi à Vienne, en Autriche, la fillette a présenté au public Cendrillon, le fameux conte de Perrault qu’elle a entièrement réécrit et mis en musique. Et à en croire les crititques : ce fut un grand
succès.
La Cendrillon d’Alma Deutscher n’est pas retrouvée par son prince charmant grâce à son chausson de“verre”:https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_sur_la_composition_des_pantoufles_de_Cendrillon mais par un chant envoûtant que le prince fredonne et que seule Cendrillon est capable de terminer.
Mais comment cette fillette trouve-t-elle son inspiration ? Parfois, en sautant à la corde, dit-elle. Ou en se reposant. “Une fois que j’ai la mélodie en tête, j’improvise un état d’esprit et juste après j‘écris la musique avant que je ne l’oublie pour que la mélodie se transmette jusqu’au bout de mes doigts.”
Si Alma est encouragée par ses parents, elle n’est pas poussée à bout, jure son père : “Avec Alma c’est juste le contraire. On fait tout pour la retenir. A la maison on lui dit qu’elle n’a pas besoin d‘être comme Mozart, que c’est déjà bien qu’elle puisse écrire sa propre musique”.
“Il n’y a jamais eu qu’un seul Mozart et je préfèrerais être la première Alma qu’un autre Mozart”, précise, sûre d’elle, la jeune compositrice.
Deux autres représentations de Cendrillon sont programmées à Vienne les 4 et 5 janvier.
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