Devant le Sénat américain, les principaux responsables du renseignement ont réitéré jeudi leurs accusations à l’encontre de la Russie.
Selon eux, Moscou aurait bel et bien mené une campagne directe pour interférer dans l‘élection américaine.
James Clapper, le chef du renseignement américain : “Cela nous renvoie aux années 1960, à l’apogée de la Guerre froide. (...). Mais je ne pense pas que n’ayons jamais fait face à une campagne aussi directe et agressive pour s’immiscer dans notre processus électoral comme nous l’avons vu dans ce cas”.
Piratage électoral : les services américains publieront un rapport la semaine prochaine https://t.co/7LECuLywO6— Pixels (@pixelsfr) 5 janvier 2017
A mots couverts, James Clapper s’en est aussi pris à Donald Trump, qui conteste ses conclusions.
Le futur président a déclaré qu’il ne croyait pas ces accusations qui ont conduit à l’expulsion de 35 diplomates russes sur décision de Barack Obama.
Une décision soutenue par John McCain, le très influent sénateur républicain.
Avec Agences
Selon eux, Moscou aurait bel et bien mené une campagne directe pour interférer dans l‘élection américaine.
James Clapper, le chef du renseignement américain : “Cela nous renvoie aux années 1960, à l’apogée de la Guerre froide. (...). Mais je ne pense pas que n’ayons jamais fait face à une campagne aussi directe et agressive pour s’immiscer dans notre processus électoral comme nous l’avons vu dans ce cas”.
Piratage électoral : les services américains publieront un rapport la semaine prochaine https://t.co/7LECuLywO6— Pixels (@pixelsfr) 5 janvier 2017
A mots couverts, James Clapper s’en est aussi pris à Donald Trump, qui conteste ses conclusions.
Le futur président a déclaré qu’il ne croyait pas ces accusations qui ont conduit à l’expulsion de 35 diplomates russes sur décision de Barack Obama.
Une décision soutenue par John McCain, le très influent sénateur républicain.
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