El Hadj Mohamed El Ghafour est né le 5 mars l930 à Nédroma (Tlemcen).
Petit, bien que brillant élève, il dut quitter l'école pour aider son père, tisserand de son état. En 1948, son oncle drabki commence à s'intéresser à sa voix. Il rejoint l'un des nombreux orchestres de la ville, celui de Hadj Ghenim Naqqache ou il apprend la darbouka pendant trois mois, puis la mandoline durant deux ans. Ensuite il rejoint un autre maître, Driss Rahal avec qui il reste jusque en 1953.Le reste ce sont les cercles littéraires de la Mesria et Tarbiaâ qui le feront.De 1966 à 1970, il se révèle au public algérien. Il participe à tous les festivals de la musique andalouse.
En 1969, son ensemble obtient le premier prix au Festival de la musique populaire d'Alger pour l'interprétation de Ya Welfi Mériem. Hadj Ghafour demeure un cas original dans la mesure ou il n'a jamais enregistré ni disques.Sa
modestie est exemplaire : J'ai chanté parce qu'un jour cheikh Ghenim l'a imposé... J'ai continué à le faire parce que cela me plaisait. J'ai persisté parce que cela plaisait aux autres. Après sa décision d'arrêter de chanter en
1981 à cause d'un ulcère de l'estomac, cheikh Ghafour fréquente
régulièrement les zaouïas de la région en se consacrant au mdih. En vingt ans de carrière (de 1960 à 1980), Ghafour s'est produit plusieurs fois gratuitement pour l'amour du métier.Le hawzi ou le Malouf de Hadj Ghafour a un cachet particulier, propre à Nédroma. Et c'est son frère cadet, Abderrazak, qui enregistra une cassette en 1991 aux éditions de Nédroma, pour perpétuer le genre pratiqué par la famille.
Biographie tirée du site http://www.webchaabi.com/artistes/ghafour.html
Merci à Lutherking pour m'avoir filé la vidéo.
Cristoumi à votre service.....
Petit, bien que brillant élève, il dut quitter l'école pour aider son père, tisserand de son état. En 1948, son oncle drabki commence à s'intéresser à sa voix. Il rejoint l'un des nombreux orchestres de la ville, celui de Hadj Ghenim Naqqache ou il apprend la darbouka pendant trois mois, puis la mandoline durant deux ans. Ensuite il rejoint un autre maître, Driss Rahal avec qui il reste jusque en 1953.Le reste ce sont les cercles littéraires de la Mesria et Tarbiaâ qui le feront.De 1966 à 1970, il se révèle au public algérien. Il participe à tous les festivals de la musique andalouse.
En 1969, son ensemble obtient le premier prix au Festival de la musique populaire d'Alger pour l'interprétation de Ya Welfi Mériem. Hadj Ghafour demeure un cas original dans la mesure ou il n'a jamais enregistré ni disques.Sa
modestie est exemplaire : J'ai chanté parce qu'un jour cheikh Ghenim l'a imposé... J'ai continué à le faire parce que cela me plaisait. J'ai persisté parce que cela plaisait aux autres. Après sa décision d'arrêter de chanter en
1981 à cause d'un ulcère de l'estomac, cheikh Ghafour fréquente
régulièrement les zaouïas de la région en se consacrant au mdih. En vingt ans de carrière (de 1960 à 1980), Ghafour s'est produit plusieurs fois gratuitement pour l'amour du métier.Le hawzi ou le Malouf de Hadj Ghafour a un cachet particulier, propre à Nédroma. Et c'est son frère cadet, Abderrazak, qui enregistra une cassette en 1991 aux éditions de Nédroma, pour perpétuer le genre pratiqué par la famille.
Biographie tirée du site http://www.webchaabi.com/artistes/ghafour.html
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