Le régime syrien ferait-il disparaitre les corps des détenus dans ce crématorium ? C’est ce que croient les Etats-Unis. Ces photos prises entre 2013 et 2017 dans la sinistre prison de Saydnaya, au nord de Damas, attesteraient selon Washington de l’existence d’un crématorium.
Syrie: un “crématorium” pour cacher des “meurtres”, d’après les Etats-Unis https://t.co/pQYdl9ECba #AFP— Agence France-Presse (@afpfr) 15 mai 2017
En février Amnesty International accusait le régime syrien d’avoir pendu 13.000 personnes entre 2011 et 2015 “Une moyenne de 50 assassinats par jour, dénonce le secrétaire d’Etat adjoint pour le Moyen-Orient, qui explique que 70 détenus sont parqués dans des cellules prévues pour cinq. Ces atrocités ont été perpétrées, ajoute Stuart Jones, avec le soutien inconditionnel de la Russie et de l’Iran.”
Lorsqu’il n’y a plus de mots#crimesdeguerre#crimescontrelhumanite#Assad#Syrie#crematorium#Saydnayahttps://t.co/CQW5rr4DIk— Nicolas Tenzer (@NTenzer) 15 mai 2017
Depuis six ans, la communauté internationale n’arrive pas à stopper la guerre. Début mai la Russie, la Turquie et l’Iran ont décidé de créer des “zones de désescalade” et de” sécurité” censées faire baisser les violences.
Washington préfère “soutenir” les négociations indirectes entre le régime syrien et l’opposition sous l‘égide de l’ONU. Ces pourparlers reprennent demain mais sans grand espoir.
Syrie: un “crématorium” pour cacher des “meurtres”, d’après les Etats-Unis https://t.co/pQYdl9ECba #AFP— Agence France-Presse (@afpfr) 15 mai 2017
En février Amnesty International accusait le régime syrien d’avoir pendu 13.000 personnes entre 2011 et 2015 “Une moyenne de 50 assassinats par jour, dénonce le secrétaire d’Etat adjoint pour le Moyen-Orient, qui explique que 70 détenus sont parqués dans des cellules prévues pour cinq. Ces atrocités ont été perpétrées, ajoute Stuart Jones, avec le soutien inconditionnel de la Russie et de l’Iran.”
Lorsqu’il n’y a plus de mots#crimesdeguerre#crimescontrelhumanite#Assad#Syrie#crematorium#Saydnayahttps://t.co/CQW5rr4DIk— Nicolas Tenzer (@NTenzer) 15 mai 2017
Depuis six ans, la communauté internationale n’arrive pas à stopper la guerre. Début mai la Russie, la Turquie et l’Iran ont décidé de créer des “zones de désescalade” et de” sécurité” censées faire baisser les violences.
Washington préfère “soutenir” les négociations indirectes entre le régime syrien et l’opposition sous l‘égide de l’ONU. Ces pourparlers reprennent demain mais sans grand espoir.
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