Au coeur du Parlement vénézuélien, ce sont deux assemblées qui s’affrontent, au sein du même bâtiment. Alors que la Constituante vient de reprendre ses travaux, à quelques mètres de là l’Assemblée nationale dominée par l’opposition dénonce son caractère “dictatorial” et sa décision d‘étendre à deux ans la durée de ses pleins pouvoirs.
“Cette assemblée nationale a légiféré au sujet des problèmes de la population. La Constituante, c’est un problème politique de Maduro : répartir des quotas, des postes et continuer à inciter à la haine et à la confrontation”, affirme Jose Manuel Olivares, député de l’opposition.
Pendant ce temps, dans les rues de Caracas, environ 2 000 partisans du régime ont manifesté leur soutien à l’assemblée constituante alors que l’ensemble de la communauté internationale s’inquiète de la dérive autoritaire du régime.
“La droite continue de nous attaquer, mais nous allons continuer à travailler, à avancer. Les décisions que nous prenons, c’est important que notre pays sache que toutes respectent parfaitement la constitution de 1999”, affirme Diosdado Cabello, ancien vice-président d’Hugo Chavez.
La Constituante pourrait bien dans les prochains jours lever l’immunité des députés d’opposition ayant commis selon elle des “crimes”, pour les envoyer en prison. L’opposition redoute aussi qu’elle prolonge le mandat du président, qui s’achève normalement en 2019.
“Cette assemblée nationale a légiféré au sujet des problèmes de la population. La Constituante, c’est un problème politique de Maduro : répartir des quotas, des postes et continuer à inciter à la haine et à la confrontation”, affirme Jose Manuel Olivares, député de l’opposition.
Pendant ce temps, dans les rues de Caracas, environ 2 000 partisans du régime ont manifesté leur soutien à l’assemblée constituante alors que l’ensemble de la communauté internationale s’inquiète de la dérive autoritaire du régime.
“La droite continue de nous attaquer, mais nous allons continuer à travailler, à avancer. Les décisions que nous prenons, c’est important que notre pays sache que toutes respectent parfaitement la constitution de 1999”, affirme Diosdado Cabello, ancien vice-président d’Hugo Chavez.
La Constituante pourrait bien dans les prochains jours lever l’immunité des députés d’opposition ayant commis selon elle des “crimes”, pour les envoyer en prison. L’opposition redoute aussi qu’elle prolonge le mandat du président, qui s’achève normalement en 2019.
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