LREM : « Christophe Castaner va être élu, tout reste à faire », se réjouit Axelle Tessandier
- il y a 7 ans
La déléguée nationale de La République en marche, et auteure de « Une marcheuse en campagne » (Albin Michel, octobre 2017), Axelle Tessandier, a répondu aux questions de l’émission « L’Invitée des Echos. »
Une centaine de militants et d’élus LREM ont signé – la plupart anonymement - une tribune sur le site de France Info pour annoncer qu’ils claquaient la porte du mouvement afin de dénoncer un manque de démocratie au sein du mouvement. Des turbulences qui surviennent alors que LREM doit organiser samedi à Lyon son congrès, au cours duquel devrait être désigné Christophe Castaner, seul candidat, à la tête du parti.
Lors de l’émission, Axelle Tessandier exprime qu’il existe des doutes sur la tribune : « c’est signé les 100 démocrates, il n’y a pas de noms, il y a 99 anonymes. »
Plus largement, lors de l’émission, Axelle Tessandier revient sur la désignation de Christophe Castaner par Emmanuel Macron. La déléguée nationale de LREM est également questionnée sur de récents sondages indiquant que le fossé se creuse entre le président de la République et les classes populaires, comme l’analysait un récent article des Echos.
Une centaine de militants et d’élus LREM ont signé – la plupart anonymement - une tribune sur le site de France Info pour annoncer qu’ils claquaient la porte du mouvement afin de dénoncer un manque de démocratie au sein du mouvement. Des turbulences qui surviennent alors que LREM doit organiser samedi à Lyon son congrès, au cours duquel devrait être désigné Christophe Castaner, seul candidat, à la tête du parti.
Lors de l’émission, Axelle Tessandier exprime qu’il existe des doutes sur la tribune : « c’est signé les 100 démocrates, il n’y a pas de noms, il y a 99 anonymes. »
Plus largement, lors de l’émission, Axelle Tessandier revient sur la désignation de Christophe Castaner par Emmanuel Macron. La déléguée nationale de LREM est également questionnée sur de récents sondages indiquant que le fossé se creuse entre le président de la République et les classes populaires, comme l’analysait un récent article des Echos.