Jean d’Ormesson écrivait souvent sur le bonheur et le plaisir malgré les malheurs, les drames, et cette lutte constante entre le temps et l’éternité. Le 22 janvier sur France info, il était venu parler de son livre intitulé «Je dirai malgré tout que cette vie fut belle», un ouvrage profond et léger à la fois sur l’existence. Au cours de l’interview, il a évoqué la mort.
«Je passe quelquefois pour un écrivain catholique. J’appartiens à l’Eglise catholique, apostolique et romaine et j’espère mourir dans cette Église mais, vous savez, je suis ravagé par le doute. Ravagé. Je ne peux pas vous dire que ma foi est très forte. Ce qui est très fort, c’est l’espérance» avait-il reconnu.
«Vous avez parlé de ces différents honneurs que j’ai cueillis, je n’y attache que très peu d’importance» lançait-il ajoutant : «Ce qui compte finalement, c’est l’amour. Vous savez quand je mourrai, je ne penserai pas beaucoup à l’Académie, ni au Figaro. Je penserai aux gens qui m’ont aimé et aux gens que j’ai aimé».
«Je passe quelquefois pour un écrivain catholique. J’appartiens à l’Eglise catholique, apostolique et romaine et j’espère mourir dans cette Église mais, vous savez, je suis ravagé par le doute. Ravagé. Je ne peux pas vous dire que ma foi est très forte. Ce qui est très fort, c’est l’espérance» avait-il reconnu.
«Vous avez parlé de ces différents honneurs que j’ai cueillis, je n’y attache que très peu d’importance» lançait-il ajoutant : «Ce qui compte finalement, c’est l’amour. Vous savez quand je mourrai, je ne penserai pas beaucoup à l’Académie, ni au Figaro. Je penserai aux gens qui m’ont aimé et aux gens que j’ai aimé».
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