Plus de 200 personnes ont été arrêtées et des dizaines blessées lors d'une nouvelle nuit de troubles en Tunisie.
Des manifestations pacifiques ont débuté la semaine dernière, à travers la Tunisie, contre l’austérité.
Lundi 8 janvier, des mobilisations ont eu lieu dans au moins 12 villes tunisiennes.
Le gouvernement a voté un budget d'austérité entré en vigueur le 1er janvier, prévoyant des augmentations d'impôts et des hausses de prix. La contestation a dégénéré en émeutes dans la nuit de lundi à mardi, notamment à Tunis et à Tebourba, à l'ouest de la capitale.
A Tunis, les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes.
A Tebourba, un homme est mort dans la nuit de dimanche à lundi dans des heurts durant une manifestation et à Sidi Bouzid, ville qui fut l'épicentre de la contestation sociale en décembre 2010 et qui a marqué le début des Printemps arabes, des jeunes ont coupé des routes, jeté des pierres et la police a répliqué à coup de gaz lacrymogènes.
L'armée a été déployée autour de banques, postes et autres bâtiments gouvernementaux sensibles.
Les militants de la campagne Fech Nestannew (Qu'est-ce qu'on attend) lancée en début d'année pour protester contre les hausses de prix ont appelé à manifester massivement vendredi 12 janvier.
Des manifestations pacifiques ont débuté la semaine dernière, à travers la Tunisie, contre l’austérité.
Lundi 8 janvier, des mobilisations ont eu lieu dans au moins 12 villes tunisiennes.
Le gouvernement a voté un budget d'austérité entré en vigueur le 1er janvier, prévoyant des augmentations d'impôts et des hausses de prix. La contestation a dégénéré en émeutes dans la nuit de lundi à mardi, notamment à Tunis et à Tebourba, à l'ouest de la capitale.
A Tunis, les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes.
A Tebourba, un homme est mort dans la nuit de dimanche à lundi dans des heurts durant une manifestation et à Sidi Bouzid, ville qui fut l'épicentre de la contestation sociale en décembre 2010 et qui a marqué le début des Printemps arabes, des jeunes ont coupé des routes, jeté des pierres et la police a répliqué à coup de gaz lacrymogènes.
L'armée a été déployée autour de banques, postes et autres bâtiments gouvernementaux sensibles.
Les militants de la campagne Fech Nestannew (Qu'est-ce qu'on attend) lancée en début d'année pour protester contre les hausses de prix ont appelé à manifester massivement vendredi 12 janvier.
Category
🗞
News