Los Angeles, Jaipur, Dar es-Salaam. Ces grandes villes ont un point commun. D’ici à 2050, elles pourraient manquer d’eau. A l’image du Cap en Afrique du Sud. Le 12 avril, la ville pourrait couper l’eau et ses habitants seraient ainsi contraints de faire la queue pour recevoir leur ration quotidienne d’eau. Et cette situation catastrophique pourrait concerner une centaine de villes d’ici à 2050. Soit 233 millions de personnes à travers le monde.
C’est ce que révèle une étude scientifique parue dans le Nature Sustainbility Journal. Comme le nombre de citadins ne cesse d’augmenter, les besoins en eau des grandes villes pourraient augmenter de 80 % en 2050. Cette situation n’est pas liée aux quantités de pluie mais à sa mauvaise répartition sur une année. A cause du réchauffement climatique et de la violence des précipitations, l’eau s’évapore ou s’évacue dans les océans, empêchant les nappes phréatiques de se remplir.
Pour éviter ces pénuries, les villes lancent des forages et encouragent les citadins à limiter leur consommation d’eau. C’est déjà le cas au Cap où les habitants ont, par exemple, droit à une douche journalière de seulement trois minutes.
C’est ce que révèle une étude scientifique parue dans le Nature Sustainbility Journal. Comme le nombre de citadins ne cesse d’augmenter, les besoins en eau des grandes villes pourraient augmenter de 80 % en 2050. Cette situation n’est pas liée aux quantités de pluie mais à sa mauvaise répartition sur une année. A cause du réchauffement climatique et de la violence des précipitations, l’eau s’évapore ou s’évacue dans les océans, empêchant les nappes phréatiques de se remplir.
Pour éviter ces pénuries, les villes lancent des forages et encouragent les citadins à limiter leur consommation d’eau. C’est déjà le cas au Cap où les habitants ont, par exemple, droit à une douche journalière de seulement trois minutes.
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