• il y a 6 ans
Déjà Maupassant nous l'avait annoncé dés 1880 "Le cours de l'esprit humain s'endigue entre deux murailles qu'on ne franchira plus : l'industrie et la vente", Annie Lebrun dans son nouvel essai "Ce qui n'a pas de prix" y interroge notre course à l’argent qui nous fait passer à côté de la recherche du Beau et de ce qui est essentiel (au sens de “l’essence” de la vie). Cette course est aussi une guerre, une guerre contre ce qui ne peut être acheté ou vendu, comme la nature, le rêve ou la passion. La finance se serait alliée à un certain art contemporain, permettant l’esthétisation de cette marchandisation à tout prix.

Recommandations