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Le 20 juillet dernier, soit deux jours après les révélations du Monde sur l'affaire Benalla, le jeune bodyguard de 26 ans était encore au volant d'un véhicule de la flotte présidentielle. Le Renault Talisman, immatriculé EY-196-VZ, géré par le commandement militaire du palais de l'Élysée, dirigé par le général Éric Bio-Farina, était garé en stationnement gênant sur le trottoir d'une rue adjacente au tribunal de grande instance, dans le quartier des Batignolles, dans le 17e arrondissement de Paris. Emmené à la fourrière Chevaleret, dans le sud de la capitale, c'est un certain Alexandre Benalla qui est venu le récupérer aujourd'hui, vers 13 heures.
Et ce, alors même que l'Élysée a assuré qu'il avait été mis à pied et qu'il fait l'objet de sanctions administratives.
Contactée dès l'information portée à la connaissance du Point, la cellule communication de l'Élysée confirme qu'Alexandre Benalla s'est bien présenté à la fourrière ce vendredi 27 juillet. Mais celui-ci s'y serait rendu « de sa propre initiative », sans avoir été mandaté par le palais présidentiel. Pourtant, toujours selon nos informations, un commandant de gendarmerie de l'Élysée accompagnait le jeune homme. Malgré cela, la fourrière aurait refusé de lui rendre le véhicule. Ce que l'Elysée nous confirme.
Une proche de l'Élysée à la manœuvre
Une nouvelle illustration du double discours de l'Élysée à l'égard d'Alexandre Benalla depuis le début de cette affaire ? De même, l'organisation de son interview parue dans Le Monde laisse songeur. C'est Michèle Marchand, chargée de l'image du couple présidentiel, qui a présenté Marc Francelet au chargé de mission du chef de cabinet du président de la République. La papesse des paparazzis connaît l'ex-barbouze Francelet de longue date. Tous deux ont eu pour clients, entre autres, Johnny Hallyday ou bien, plus récemment, Zahia, le « cadeau d'anniversaire » de Franck Ribéry alors qu'elle était mineure. Leur mission : valoriser et défendre leur image dans les médias.
Le 20 juillet dernier, soit deux jours après les révélations du Monde sur l'affaire Benalla, le jeune bodyguard de 26 ans était encore au volant d'un véhicule de la flotte présidentielle. Le Renault Talisman, immatriculé EY-196-VZ, géré par le commandement militaire du palais de l'Élysée, dirigé par le général Éric Bio-Farina, était garé en stationnement gênant sur le trottoir d'une rue adjacente au tribunal de grande instance, dans le quartier des Batignolles, dans le 17e arrondissement de Paris. Emmené à la fourrière Chevaleret, dans le sud de la capitale, c'est un certain Alexandre Benalla qui est venu le récupérer aujourd'hui, vers 13 heures.
Et ce, alors même que l'Élysée a assuré qu'il avait été mis à pied et qu'il fait l'objet de sanctions administratives.
Contactée dès l'information portée à la connaissance du Point, la cellule communication de l'Élysée confirme qu'Alexandre Benalla s'est bien présenté à la fourrière ce vendredi 27 juillet. Mais celui-ci s'y serait rendu « de sa propre initiative », sans avoir été mandaté par le palais présidentiel. Pourtant, toujours selon nos informations, un commandant de gendarmerie de l'Élysée accompagnait le jeune homme. Malgré cela, la fourrière aurait refusé de lui rendre le véhicule. Ce que l'Elysée nous confirme.
Une proche de l'Élysée à la manœuvre
Une nouvelle illustration du double discours de l'Élysée à l'égard d'Alexandre Benalla depuis le début de cette affaire ? De même, l'organisation de son interview parue dans Le Monde laisse songeur. C'est Michèle Marchand, chargée de l'image du couple présidentiel, qui a présenté Marc Francelet au chargé de mission du chef de cabinet du président de la République. La papesse des paparazzis connaît l'ex-barbouze Francelet de longue date. Tous deux ont eu pour clients, entre autres, Johnny Hallyday ou bien, plus récemment, Zahia, le « cadeau d'anniversaire » de Franck Ribéry alors qu'elle était mineure. Leur mission : valoriser et défendre leur image dans les médias.
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