C’est à l’Hôtel des Saints-Pères, tout a côté de la Maison Grasset où elle est publiée que je retrouve Véronique Olmi dont le dernier livre « La promenade des Russes » est en librairie depuis quelques jours.
Le lieu est important. D’abord parce qu’il est beaucoup question d’hôtels dans les romans de l’auteure, et aussi parce que Véronique Olmi tient à cette neutralité pour ce genre de rencontre. La voilà, plus « endormie que stressée », celle qui commença en littérature « par un double infanticide ».
Ses livres sont souvent des coups de poings ; mais le dernier, plein d’humour. Nous en parlerons. De ça et des femmes. De son immense amour des femmes. Mais aussi d’érotisme, de crudité, des mots pour dire le sexe et les corps.
Le lieu est important. D’abord parce qu’il est beaucoup question d’hôtels dans les romans de l’auteure, et aussi parce que Véronique Olmi tient à cette neutralité pour ce genre de rencontre. La voilà, plus « endormie que stressée », celle qui commença en littérature « par un double infanticide ».
Ses livres sont souvent des coups de poings ; mais le dernier, plein d’humour. Nous en parlerons. De ça et des femmes. De son immense amour des femmes. Mais aussi d’érotisme, de crudité, des mots pour dire le sexe et les corps.
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