Frédéric Chopin - Prélude n°4 Op. 28 en Mi mineur
compositeur et pianiste virtuose
Prelude in E-Minor (opus 8 N°4) Monastère de Valldemossa
Frédéric Chopin est aussi l'un des plus célèbres pianistes du XIXe siècle. Sa musique est encore aujourd'hui l'une des plus jouées et demeure un passage indispensable à la compréhension du répertoire pianistique universel.
Ce prélude donne un aspect inhabituel de l'œuvre de Chopin. Nullement virtuose, cette petite pièce est unique pour le climat qui s'y développe, telle une image poétique. La subtilité de la texture harmonique évoque la notion de trame sonore.
Le Prélude Op. 28, No. 4 de Frédéric Chopin est l'un des 24 préludes de Chopin . À la demande de Chopin, cette pièce fut jouée à ses propres funérailles, avec le Requiem de Mozart .Le prélude a peut-être reçu un titre. Comme le rapporte Solange, la fille de George Sand : «Ma mère donna un titre à chacun des merveilleux Préludes de Chopin, ces titres ont été conservés sur une partition qu'il nous a donnée " [Ce score intitulé est perdu. Mais Solange a enregistré les noms des préludes, apparemment sans assigner les noms aux numéros de prélude. On croit que le titre "Quelles larmes au fond du cloître humide?" ("Quelles larmes coulent des profondeurs du monastère humide?") Correspond au prélude n ° 4.
Contexte de sa création (1838) : Frédéric apprend en vacances en Espagne, à l'arrivée de l'hiver, qu'il est atteint d'une bronchite et les médecins s'aperçoivent qu'il est tuberculeux ; ils doivent quitter la villa de Majorque et se réfugient dans de mauvaises conditions au monastère de Valldemossa, un trois pièces avec un jardin. Le piano sur lequel jouait Chopin à la Chartreuse de Valldemossa. Il y compose, entre autres, son cycle des 24 Préludes, op. 28 et sa 2e Ballade, mais sa santé se dégrade considérablement malgré les soins et le dévouement de Sand.
c'est la musique qui rapproche George Sand de Frédéric Chopin. "Je l'ai revue trois fois, écrit Chopin... Elle me regardait profondément dans les yeux, pendant que je jouais. C'était de la musique un peu triste, légendes du Danube ; mon coeur dansait avec elle au pays. Et ses yeux dans mes yeux, yeux sombres, yeux singuliers, que disaient-ils ? Elle s'appuyait sur le piano et ses regards embrasant m'inondaient."
compositeur et pianiste virtuose
Prelude in E-Minor (opus 8 N°4) Monastère de Valldemossa
Frédéric Chopin est aussi l'un des plus célèbres pianistes du XIXe siècle. Sa musique est encore aujourd'hui l'une des plus jouées et demeure un passage indispensable à la compréhension du répertoire pianistique universel.
Ce prélude donne un aspect inhabituel de l'œuvre de Chopin. Nullement virtuose, cette petite pièce est unique pour le climat qui s'y développe, telle une image poétique. La subtilité de la texture harmonique évoque la notion de trame sonore.
Le Prélude Op. 28, No. 4 de Frédéric Chopin est l'un des 24 préludes de Chopin . À la demande de Chopin, cette pièce fut jouée à ses propres funérailles, avec le Requiem de Mozart .Le prélude a peut-être reçu un titre. Comme le rapporte Solange, la fille de George Sand : «Ma mère donna un titre à chacun des merveilleux Préludes de Chopin, ces titres ont été conservés sur une partition qu'il nous a donnée " [Ce score intitulé est perdu. Mais Solange a enregistré les noms des préludes, apparemment sans assigner les noms aux numéros de prélude. On croit que le titre "Quelles larmes au fond du cloître humide?" ("Quelles larmes coulent des profondeurs du monastère humide?") Correspond au prélude n ° 4.
Contexte de sa création (1838) : Frédéric apprend en vacances en Espagne, à l'arrivée de l'hiver, qu'il est atteint d'une bronchite et les médecins s'aperçoivent qu'il est tuberculeux ; ils doivent quitter la villa de Majorque et se réfugient dans de mauvaises conditions au monastère de Valldemossa, un trois pièces avec un jardin. Le piano sur lequel jouait Chopin à la Chartreuse de Valldemossa. Il y compose, entre autres, son cycle des 24 Préludes, op. 28 et sa 2e Ballade, mais sa santé se dégrade considérablement malgré les soins et le dévouement de Sand.
c'est la musique qui rapproche George Sand de Frédéric Chopin. "Je l'ai revue trois fois, écrit Chopin... Elle me regardait profondément dans les yeux, pendant que je jouais. C'était de la musique un peu triste, légendes du Danube ; mon coeur dansait avec elle au pays. Et ses yeux dans mes yeux, yeux sombres, yeux singuliers, que disaient-ils ? Elle s'appuyait sur le piano et ses regards embrasant m'inondaient."
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