Une récente étude sur des mollusques montre en effet que les espèces qui ont un métabolisme intense risquent plus l’extinction.
Les chercheurs ont calculé le métabolisme de base (la quantité d’énergie dont l’animal a besoin pour vivre au quotidien) de 299 animaux, actuels ou fossiles.
Ils ont travaillé à partir de mollusques de l’ouest de l’océan Atlantique sur une période d’environ cinq millions d’années.
Les chercheurs ont observé une différence significative de métabolisme entre les animaux qui se sont éteints et ceux qui ont survécu.
Les espèces disparues avaient tendance à avoir des métabolismes de base plus élevés que les espèces toujours vivantes.
Ces travaux pourraient aider à déterminer quelles sont les espèces qui risquent de disparaître, notamment avec le changement climatique en cours.
Cette étude chamboule un peu l’idée qu’on se fait de l’évolution et de la sélection des individus.
Ce n’est pas forcément l’espèce la plus capable et la plus combattive qui survit, mais plutôt la plus apathique.
Les chercheurs ont calculé le métabolisme de base (la quantité d’énergie dont l’animal a besoin pour vivre au quotidien) de 299 animaux, actuels ou fossiles.
Ils ont travaillé à partir de mollusques de l’ouest de l’océan Atlantique sur une période d’environ cinq millions d’années.
Les chercheurs ont observé une différence significative de métabolisme entre les animaux qui se sont éteints et ceux qui ont survécu.
Les espèces disparues avaient tendance à avoir des métabolismes de base plus élevés que les espèces toujours vivantes.
Ces travaux pourraient aider à déterminer quelles sont les espèces qui risquent de disparaître, notamment avec le changement climatique en cours.
Cette étude chamboule un peu l’idée qu’on se fait de l’évolution et de la sélection des individus.
Ce n’est pas forcément l’espèce la plus capable et la plus combattive qui survit, mais plutôt la plus apathique.
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