Angoulême. Un bus attaqué par 30 jeunes armés de sabres et de battes.
Un bus a été attaqué mercredi soir à Angoulême par une trentaine de jeunes armés de sabres et de battes de baseball. Le chauffeur a pu redémarrer et l’incident n’a fait aucun blessé. Jeudi matin, le réseau de transports de la ville a annoncé qu’aucun bus ne roulerait, les conducteurs exerçant leur droit de retrait. C’est la deuxième agression dans un bus en une semaine.
Violente agression dans les rues d’Angoulême (Charente) mercredi 26 septembre. Peu après 17 h, une trentaine de personnes, assez jeunes, ont entouré un bus qui venait de marquer l’arrêt. Ils en avaient apparemment après d’autres jeunes installés dans le véhicule de transport en commun, rapporte Sud Ouest.
Les agresseurs étaient « munis de battes de baseball et de sabres », selon un communiqué de la STGA, réseau de transports de la ville. Le chauffeur, âgé de 26 ans et en poste depuis juillet seulement, a immédiatement actionné la pédale de détresse. Les passagers ont pu descendre par l’avant tandis qu’il verrouillait les portes arrière. Le bus est ensuite reparti, les vitres arrière brisées par les coups.
Droit de retrait des chauffeurs
Quelques arrêts plus loin, le conducteur a été relevé et l’autobus accidenté remplacé. Aucune interpellation n’a eu lieu pour l’instant, les trente jeunes se dispersant rapidement après le départ du bus. Jeudi 27 septembre au matin, plusieurs chauffeurs ont exercé leur droit de retrait à la suite de l’incident. Un mouvement largement suivi : la STGA a rappelé l’intégralité de ses bus pour la journée.
« Suite à un incident mercredi soir sur le réseau, les conducteurs exercent ce matin leur droit de retrait, peut-on lire sur le site du réseau. Une réunion de crise a été prévue en urgence avec le président de Grand Angoulême. Les chauffeurs sont inquiets pour leur sécurité : un autre bus a été attaqué le 18 septembre par un quadragénaire armé d’une hache, rappelle Sud Ouest.
Un bus a été attaqué mercredi soir à Angoulême par une trentaine de jeunes armés de sabres et de battes de baseball. Le chauffeur a pu redémarrer et l’incident n’a fait aucun blessé. Jeudi matin, le réseau de transports de la ville a annoncé qu’aucun bus ne roulerait, les conducteurs exerçant leur droit de retrait. C’est la deuxième agression dans un bus en une semaine.
Violente agression dans les rues d’Angoulême (Charente) mercredi 26 septembre. Peu après 17 h, une trentaine de personnes, assez jeunes, ont entouré un bus qui venait de marquer l’arrêt. Ils en avaient apparemment après d’autres jeunes installés dans le véhicule de transport en commun, rapporte Sud Ouest.
Les agresseurs étaient « munis de battes de baseball et de sabres », selon un communiqué de la STGA, réseau de transports de la ville. Le chauffeur, âgé de 26 ans et en poste depuis juillet seulement, a immédiatement actionné la pédale de détresse. Les passagers ont pu descendre par l’avant tandis qu’il verrouillait les portes arrière. Le bus est ensuite reparti, les vitres arrière brisées par les coups.
Droit de retrait des chauffeurs
Quelques arrêts plus loin, le conducteur a été relevé et l’autobus accidenté remplacé. Aucune interpellation n’a eu lieu pour l’instant, les trente jeunes se dispersant rapidement après le départ du bus. Jeudi 27 septembre au matin, plusieurs chauffeurs ont exercé leur droit de retrait à la suite de l’incident. Un mouvement largement suivi : la STGA a rappelé l’intégralité de ses bus pour la journée.
« Suite à un incident mercredi soir sur le réseau, les conducteurs exercent ce matin leur droit de retrait, peut-on lire sur le site du réseau. Une réunion de crise a été prévue en urgence avec le président de Grand Angoulême. Les chauffeurs sont inquiets pour leur sécurité : un autre bus a été attaqué le 18 septembre par un quadragénaire armé d’une hache, rappelle Sud Ouest.
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