En agriculture, la moisson est la récolte de plantes à graines, principalement les céréales. Le terme s'emploie préférentiellement pour les céréales à paille (blé, orge, avoine, seigle) ; pour le maïs on parle plutôt de récolte.
Par extension, le terme s'emploie également pour certaines cultures industrielles, notamment les oléagineux dont la récolte se fait à l'aide des mêmes machines. Il désigne aussi la période pendant laquelle se fait la moisson, et le produit de cette récolte.
La moisson s'est longtemps faite de manière manuelle, à l'aide de faux, de faucille ou de sape, et c'est encore le cas dans certaines régions moins avancées. La moisson manuelle consistait à confectionner des gerbes qui étaient entassées en meules, dans l'attente de l'opération suivante, le battage, consistant à séparer le grain de la paille. Ces opérations étaient assez pénibles et coûteuses en main d'œuvre, forçant les paysans à se regrouper pour disposer des moyens nécessaires à la réaliser dans les temps impartis.
Les moissons maintenant
Les moissons maintenant
La première étape de la mécanisation est intervenue avec l'invention de la moissonneuse, inventée aux États-Unis par Cyrus McCormick en 1831, qui assurait la coupe des tiges grâce à une barre de coupe mécanique. Puis vint vers la fin du XIXe siècle la moissonneuse-lieuse, machine tractée à l'origine par des chevaux qui permettait de couper les tiges et de les lier en gerbes. La mécanisation du battage s'est faite grâce à l'emploi de batteuses fonctionnant à poste fixe. Puis sont apparues les moissonneuses batteuses combinant les deux opérations réalisées simultanément sur le champ.
Du premier coup de faucille à l'enlèvement de la récolte, la moisson traditionnelle s'accompagne ou s'accompagnait dans toutes les cultures de rituels divers
Par extension, le terme s'emploie également pour certaines cultures industrielles, notamment les oléagineux dont la récolte se fait à l'aide des mêmes machines. Il désigne aussi la période pendant laquelle se fait la moisson, et le produit de cette récolte.
La moisson s'est longtemps faite de manière manuelle, à l'aide de faux, de faucille ou de sape, et c'est encore le cas dans certaines régions moins avancées. La moisson manuelle consistait à confectionner des gerbes qui étaient entassées en meules, dans l'attente de l'opération suivante, le battage, consistant à séparer le grain de la paille. Ces opérations étaient assez pénibles et coûteuses en main d'œuvre, forçant les paysans à se regrouper pour disposer des moyens nécessaires à la réaliser dans les temps impartis.
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La première étape de la mécanisation est intervenue avec l'invention de la moissonneuse, inventée aux États-Unis par Cyrus McCormick en 1831, qui assurait la coupe des tiges grâce à une barre de coupe mécanique. Puis vint vers la fin du XIXe siècle la moissonneuse-lieuse, machine tractée à l'origine par des chevaux qui permettait de couper les tiges et de les lier en gerbes. La mécanisation du battage s'est faite grâce à l'emploi de batteuses fonctionnant à poste fixe. Puis sont apparues les moissonneuses batteuses combinant les deux opérations réalisées simultanément sur le champ.
Du premier coup de faucille à l'enlèvement de la récolte, la moisson traditionnelle s'accompagne ou s'accompagnait dans toutes les cultures de rituels divers
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