Sur l'étape Cluses / Champéry, c'est VAN BAARLE Dylan (TEAM INEOS) qui s'impose devant HAIG Jack (MITCHELTON - SCOTT) et HAGEN Carl fredrik (LOTTO SOUDAL).
Il y a trop de lacets dans les routes de montagne. Pourquoi ne fait-on pas des routes à boutons ?, suggérait Pierre Dac dans une de ses sentences définitives… et finalement inspirante. Si notre imagination peine à rivaliser avec celle de l’humoriste, la course cycliste nous donne quelque part la possibilité de façonner les montagnes, d’investir de manière fugace les terrains pour leur prêter un nouveau destin. Et si le territoire d’expression historique du Critérium du Dauphiné se concentre sur le massif alpin, la 71e édition s’enrichit d’une visite chez son voisin, le Massif Central, et plus particulièrement pour un séjour dans le Cantal qui emmènera notamment les coureurs sur les pentes du Puy Mary. Plus tard, lorsqu’il s’agira de rejoindre des contrées plus familières, le voyage proposé cette année s’affranchit des excursions traditionnelles, mettant l’accent sur les vertus de la découverte. On pourra même certainement parler de surprise dans le peloton en s’attaquant au col de Beaune dans le final de l’étape de Saint-Michel-de-Maurienne, ou sur l’enchaînement du col de Marcieu et de la montée de Pipay le lendemain. Jusqu’aux derniers kilomètres de la montée finale à Champéry, les pentes qui se dresseront devant les coureurs présentent toutes les qualités pour ouvrir les débats de l’été. Parfois, le mois de juillet prend de l’avance…
Christian Prudhomme
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© Amaury Sport Organisation - www.aso.fr
Il y a trop de lacets dans les routes de montagne. Pourquoi ne fait-on pas des routes à boutons ?, suggérait Pierre Dac dans une de ses sentences définitives… et finalement inspirante. Si notre imagination peine à rivaliser avec celle de l’humoriste, la course cycliste nous donne quelque part la possibilité de façonner les montagnes, d’investir de manière fugace les terrains pour leur prêter un nouveau destin. Et si le territoire d’expression historique du Critérium du Dauphiné se concentre sur le massif alpin, la 71e édition s’enrichit d’une visite chez son voisin, le Massif Central, et plus particulièrement pour un séjour dans le Cantal qui emmènera notamment les coureurs sur les pentes du Puy Mary. Plus tard, lorsqu’il s’agira de rejoindre des contrées plus familières, le voyage proposé cette année s’affranchit des excursions traditionnelles, mettant l’accent sur les vertus de la découverte. On pourra même certainement parler de surprise dans le peloton en s’attaquant au col de Beaune dans le final de l’étape de Saint-Michel-de-Maurienne, ou sur l’enchaînement du col de Marcieu et de la montée de Pipay le lendemain. Jusqu’aux derniers kilomètres de la montée finale à Champéry, les pentes qui se dresseront devant les coureurs présentent toutes les qualités pour ouvrir les débats de l’été. Parfois, le mois de juillet prend de l’avance…
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