Sarah Connor et le T-800 sont de retour dans cette suite directe du deuxième volet de la franchise.
S’il y a bien une franchise bordélique dont on ne comprend pas toujours la chronologie, c’est bien Terminator. Lancée en 1984 par James Cameron, elle est devenue culte grâce à l’incroyable deuxième volet. Puis elle est partie dans tous les sens, avec des suites fades et des espèces de spin-off/reboots.
Autant dire qu’après le four de Terminator : Genisys, le cinquième volet qui se voulait être un reboot du deuxième, il a fallu rassurer les fans. C’est ainsi qu’est né Terminator : Dark Fate, un sixième volet qui est la suite directe de Terminator 2 : Le Jugement dernier et qui fait table rase de tout ce qui s’est passé depuis. Produit par James Cameron et marqué par les retrouvailles entre Sarah Connor et d’Arnold "T-800" Schwarzenegger, ce nouveau volet devait faire plaisir à plus d’un.
Petit rappel : dans T2, Skynet, l’intelligence artificielle qui mène la guerre des machines contre les humains, envoie un Terminator T-1000 dans le passé pour tuer le jeune John Connor (le futur leader des humains dans la guerre à venir), tandis que les humains envoient un T-800 pour protéger le jeune garçon.
Dans Dark Fate, Sarah Connor cherche à protéger une jeune femme traquée par un Terminator. Et pour ce faire, elle devra retourner voir son vieux copain le T-800, qui est resté dans la timeline du passé après les événements de T2 – il faut suivre. Donc bon, à la limite, pourquoi pas. Cela ressemble beaucoup au 2, mais le retour de Cameron à la production rassure pas mal.
En revanche, même si on sait qu’il ne faut pas se fier aux trailers à 100 %, il est difficile de ne pas trouver l’ensemble visuellement plat, la photographie ne semblant pas digne d’un film de Cameron. Même les séquences les plus bourrines ne sont pas si impressionnantes et ça pue le truc cliché à des kilomètres à la ronde — Sarah Connor qui balance une grenade dans son dos avant de dire "I’ll be back" devrait vous donner une idée de ce qui vous attend à ce niveau-là.
Mais on est peut-être face à un trailer qui ne traduit pas assez bien la qualité du produit fini — c’est déjà arrivé un paquet de fois… Donc, dans le doute, faites-vous votre avis.
S’il y a bien une franchise bordélique dont on ne comprend pas toujours la chronologie, c’est bien Terminator. Lancée en 1984 par James Cameron, elle est devenue culte grâce à l’incroyable deuxième volet. Puis elle est partie dans tous les sens, avec des suites fades et des espèces de spin-off/reboots.
Autant dire qu’après le four de Terminator : Genisys, le cinquième volet qui se voulait être un reboot du deuxième, il a fallu rassurer les fans. C’est ainsi qu’est né Terminator : Dark Fate, un sixième volet qui est la suite directe de Terminator 2 : Le Jugement dernier et qui fait table rase de tout ce qui s’est passé depuis. Produit par James Cameron et marqué par les retrouvailles entre Sarah Connor et d’Arnold "T-800" Schwarzenegger, ce nouveau volet devait faire plaisir à plus d’un.
Petit rappel : dans T2, Skynet, l’intelligence artificielle qui mène la guerre des machines contre les humains, envoie un Terminator T-1000 dans le passé pour tuer le jeune John Connor (le futur leader des humains dans la guerre à venir), tandis que les humains envoient un T-800 pour protéger le jeune garçon.
Dans Dark Fate, Sarah Connor cherche à protéger une jeune femme traquée par un Terminator. Et pour ce faire, elle devra retourner voir son vieux copain le T-800, qui est resté dans la timeline du passé après les événements de T2 – il faut suivre. Donc bon, à la limite, pourquoi pas. Cela ressemble beaucoup au 2, mais le retour de Cameron à la production rassure pas mal.
En revanche, même si on sait qu’il ne faut pas se fier aux trailers à 100 %, il est difficile de ne pas trouver l’ensemble visuellement plat, la photographie ne semblant pas digne d’un film de Cameron. Même les séquences les plus bourrines ne sont pas si impressionnantes et ça pue le truc cliché à des kilomètres à la ronde — Sarah Connor qui balance une grenade dans son dos avant de dire "I’ll be back" devrait vous donner une idée de ce qui vous attend à ce niveau-là.
Mais on est peut-être face à un trailer qui ne traduit pas assez bien la qualité du produit fini — c’est déjà arrivé un paquet de fois… Donc, dans le doute, faites-vous votre avis.
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🎥
Court métrage