Ardèche. Un chasseur avoue avoir abattu un chiot de 4 mois car il aboyait trop fort
- il y a 5 ans
Un chiot de quatre mois a été abattu de deux coups de feu tirés avec une carabine à Saint-Agrève, le 26 août. Le principal suspect, un chasseur de 22 ans, a expliqué aux gendarmes que l’animal aboyait trop fort et qu’il risquait de faire fuir le gibier. Il sera jugé en février 2020 à Privas pour « acte de cruauté envers un animal domestique ».
Un jeune border collie de quatre mois, prénommé Kinder, a été froidement abattu de deux coups de feu, le 26 août, à Saint-Agrève (Ardèche). Présents au moment des faits, les propriétaires de l’animal ont intercepté l’auteur présumé des coups de feu, rapporte Le Dauphiné Libéré. Les gendarmes ont ainsi pu l’interpeller sans difficulté.
Lors de son audition, ce jeune homme de 22 ans aurait reconnu les faits. Selon ses déclarations, il était en train de marcher lorsqu’il a entendu l’animal aboyer. Il serait alors retourné chez lui pour récupérer sa carabine et tuer le chiot. Il a justifié son geste en expliquant que ses aboiements risquaient de faire fuir le gibier alors que l’ouverture de la chasse avait lieu ce dimanche 8 septembre.
Les forces de l’ordre ont retrouvé la carabine dans la voiture du suspect. Ce dernier conserve cependant son permis de chasse ainsi que le droit de porter une arme en attendant son procès, précise Le Dauphiné. Il doit être jugé le 14 février 2020 à Privas (Ardèche) pour « acte de cruauté envers un animal domestique ».
Un jeune border collie de quatre mois, prénommé Kinder, a été froidement abattu de deux coups de feu, le 26 août, à Saint-Agrève (Ardèche). Présents au moment des faits, les propriétaires de l’animal ont intercepté l’auteur présumé des coups de feu, rapporte Le Dauphiné Libéré. Les gendarmes ont ainsi pu l’interpeller sans difficulté.
Lors de son audition, ce jeune homme de 22 ans aurait reconnu les faits. Selon ses déclarations, il était en train de marcher lorsqu’il a entendu l’animal aboyer. Il serait alors retourné chez lui pour récupérer sa carabine et tuer le chiot. Il a justifié son geste en expliquant que ses aboiements risquaient de faire fuir le gibier alors que l’ouverture de la chasse avait lieu ce dimanche 8 septembre.
Les forces de l’ordre ont retrouvé la carabine dans la voiture du suspect. Ce dernier conserve cependant son permis de chasse ainsi que le droit de porter une arme en attendant son procès, précise Le Dauphiné. Il doit être jugé le 14 février 2020 à Privas (Ardèche) pour « acte de cruauté envers un animal domestique ».