Bo Van Spilbeeck, grand reporter sur la chaine flamande VTM, transgenre : "Depuis l'âge de 8 ans, je me sentais enfermée comme femme dans un corps d'homme. Et j'ai lancé un cri de détresse"

Bo Van Spilbeeck, transgenre : "Il y a un point où l'on se dit : c'est ça, ou la vie n'a plus aucun sens"

François Ruffin : "Je voulais faire un film dont je sois fière et dont elles soient fières, qui les amènent vers la parole et vers la lumière."

Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain : "J’ai eu extrêmement de mal à comprendre ce qu’elle a vécu. Je pensais voir les écrits d’une mère, j’ai vu ceux d’une enfant."

Arlette Chabot : "Quand j'ai commencé à présenter un journal, on m'a expliqué qu'aucune autre femme ne pouvait faire un papier dans mon édition. Deux femmes dans un même journal, c'était insupportable."

"C’était impossible pour moi de continuer à vivre en homme" | Le Speech de Bo Van Spilbeeck

Sara Forestier, comédienne : "Ce que vivait le personnage, j’étais en train de la traverser dans la vie, une fille qui s’extirpait de violences conjugales"

"Depuis longtemps Thomas Lilti parle d'un hôpital sous perfusion, à qui on retire des moyens chaque année" (Louise Bourgoin)

Chloé Verlhac : "Tignous est mort le feutre à la main, il ne l'a pas lâché"

‏Amandine Henry, capitaine des Bleues : "Si j'avais été un garçon, je ne serais peut-être pas dans l'Équipe de France"

Delphine Horvilleur, rabbin, raconte un enterrement particulier où elle a été appelée à officier : "Ce jour là, je suis là pour faire entendre à cet homme ce qu'il vient de me raconter"

Françoise Fabian : "C'était mon petit frère et en même temps mon protecteur".

Laure Adler : "j'ai détourné la loi : j'ai demandé à mes invités de venir chez moi et j'ai pu faire mon boulot"

Akhenaton : "Ma mère était une militante, au Parti communiste, à la CGT, j'ai commencé très jeune à aller dans les défilés. Dans sa manière de m'élever, dans les musiques qu'elle me faisait écouter, ça a infusé, ça a donné un certain goût à mon rap."

Camille Emmanuelle : "Le fait que la psy se tourne vers moi et qu'elle me demande comment j'allais, j'ai trouvé cela limite indécent. Il y avait une victime directe, traumatisée, à côté de moi, je ne faisais que l'accompagner."

"J’ai peur des extrêmes, et j’ai l’impression que mon féminisme s’arrête à l’endroit où les femmes voudraient dépasser les hommes" (Suzanne Lindon)

Morgane Seliman, victime de violences conjugales auteure du livre "Il m'a volé ma vie" (XO) : "Vous, les journalistes, me protégez, pas la justice"

Patricia Tourancheau : "Dans cette affaire, beaucoup de femmes ont pesé ; soit combattu, pourchassé ou défendu Guy Georges."

Suliane Brahim sur le documentaire "Anais s'en va-t-en guerre" : "On s'est beaucoup inspiré d'elle

Thierry Ardisson, animateur télé : "J'ai été effectivement viré"

Domingo : "Quand on vient d'Internet et qu'on a connu la liberté, se retrouver sur une radio musicale, avoir des pubs, de la musique, ça limite un peu... je me suis dit que je pouvais faire ce que je faisais à la radio, mais en mieux, sur Twitch."

Thierry Ardisson, animateur télé : "Vu l'attitude de Bolloré, peut-être vaut mieux se vendre au très grand capital (...) Pour l'instant, je discute avec tout le monde"

Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, à propos d'Instagram : "Ce n'est évidemment pas la vraie vie, c’est une vie que l’on contrôle."

C'est mon histoire : « Mon mari est devenu une femme »

Laeticia Hallyday: "Je choisis la paix" - 16/10

François Ruffin : "Il y a une souffrance symbolique à ne pas compter dans la société"